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Titre : | Ça fait tant de plaisir et ça coûte si peu |
Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Chaudoir, Félix ; Aillaud, Théodore |
Interprète(s) : | Bravo |
Genre : | Café-concert |
Fichier audio : | |
Photo(s) : | ![]() |
Support d'enregistrement : | Disque |
Format : | 17 cm aiguille (enregistrement acoustique) |
Lieu d'enregistrement : | Paris, France |
Marque de fabrique, label : | Gramophone and Typewriter |
Numéro de catalogue : | 32994x |
Numéro de matrice : | 517f |
Date de l'enregistrement : | 1902 |
Vitesse (tours/minute) : | 78 |
Matériel employé au transfert : | Garrard 401, SME 3012, pointe 2,5ET sur Stanton, Elberg MD12 : courbe HMV, Cedar X declick, decrackle, dehiss |
Date du transfert : | 20-05-2010 |
Commentaires : | Texte du contenu ci-joint. |
Texte du contenu : | Ça fait tant de plaisir et ça coûte si peu
Création : Maurel (vers 1900 à la Scala sous le titre Ça fait tant plaisir et ça coûte si peu) - reprises : Chap-Hell, Reschal, Gabin, Honoré, Strack, Morin, Bravo Paroles : Théodore Aillaud - Musique : Félix Chaudoir - Éditeur : Aux Répertoires Réunis / Delormel Je me souviens qu'en mon jeune âge J'étais taquin comme un démon Et que ma cousine Margoton Après moi se mettait en rage Mais c' qui la calmait subit'ment C'est quand j' l'embrassais en cachette Fallait voir ma p'tite cousinette Me balbutier discrètement : {Refrain, x2 :} Ah ! refais-le-me-le, dis, ah ! Refais-le-me-le autant qu'on désire Ça fait tant plaisir et ça coûte si peu Plus tard, j'épousai ma cousine Elle avait juste vingt printemps Je me rappellerai longtemps De la nuit d' noces car la mâtine Résistait énergiquement À mon discours plein d'éloquence À la fin convaincue, je pense Elle murmura plus tendrement : {au Refrain, x2} Au bout d'une année de ménage Une fille nous vint, j' dis : Ça suffit Mais ma femme sans m' laisser d' répit S'écrie : Voyons, un peu d' courage Toi, d'ordinaire si généreux Ne r'garde pas à la dépense Voyons, p'tit père, c'est pour la France Puis elle me chante d'un air malicieux : {au Refrain, x2} Pour la fête de la mi-carême On a lancé des serpentins On a dansé comme des pantins Mais où notre joie fut extrême C'est quand avec une plume de paon Que j' manœuvrais avec adresse Je chatouillais ma femme qui sans cesse Me disait tout en se pâmant : {au Refrain, x2} |
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