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Titre : | Histoire d'un pantalon, chansonnette comique sans grivoiserie |
Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Leserre, Élie ; Dubois, Charles |
Interprète(s) : | Lack, Paul [Léopold Postieau] |
Genre : | Café-concert |
Fichier audio : | |
Photo(s) : | ![]() |
Support d'enregistrement : | Disque |
Format : | 30 cm aiguille (enregistrement acoustique) |
Lieu d'enregistrement : | Paris, France |
Marque de fabrique, label : | Gramophone |
Numéro de catalogue : | 0232188 |
Numéro de matrice : | 02411v |
Date de l'enregistrement : | 1912-05-09 |
Vitesse (tours/minute) : | 78 |
Matériel employé au transfert : | Garrard 401, SME 3012, pointe 2,0ET sur Stanton, Elberg MD12 : courbe Westrex, passe-bas, Cedar X declick, decrackle, dehiss |
Date du transfert : | 08-06-2010 |
Commentaires : | Texte du contenu ci-joint. La Belle Jardinière, magasin de confection, grand magasin. Titre de la partition originale : Histoire d'un pantalon ! Opera populaire en scie naturelle..., paroles de Elie Leserre, musique de Leserre et Ch. Dubois. Contenu similaire dans "Le pantalon, monologue" |
Texte du contenu : | Histoire d'un pantalon
Paroles : Élie Leserre - Musique : Élie Leserre, Charles Dubois (1885) Je me nomme Léon Voulant un pantalon À La Belle Jardinière Avec ma ménagère Pour en acheter un Qui ne soit pas commun J'dis : Faut l’faire sur mesure La chose sera plus sûre {x2 :} Je me nomme Léon Je veux un pantalon Le tailleur qui le fait M’dit : Vous s’rez satisfait Vous l’aurez dans douze heures D'une coupe des meilleures Voici l’échantillon C’est d’bon goût et d’bon ton Vous n’avez rien à craindre J'vous défie d'vous en plaindre {x2 :} Vous s’rez, monsieur Léon Content d’votre pantalon En effet, le lend’main Même de très matin On sonnait à ma porte L’pantalon on m’apporte Je l’essaye aussitôt I' m'montait jusqu'au dos Ma femme crie : C’est énorme ! Ma fille : Quelle drôle de forme ! {x2 :} Ma bonne dit : Qu’il est long ! Quel drôle de pantalon ! J’en étais tout navré Car cela était vrai Et malgré ma bretelle En bas il f'sait l'échelle J' dis : il n’peut pas m’conv’nir Ou bien faut l’raccourcir Vingt fois un centimètre Pour que je puisse le mettre {x2 :} Ou sans ça, foi d’Léon J’veux pas d’mon pantalon De très mauvaise humeur Je me couche, ô malheur Voilà-t-y pas qu’ma femme Avec sa bonté d’âme Voulant me faire plaisir Sachant qu’j’devais sortir Sans rien dire à personne À sa fille, ni la bonne {x2 :} Coupe c’qu’était trop long Dans l’bas d’mon pantalon Puis elle se couche enfin Et dort jusqu’au matin Pendant c’temps-là, ma fille Ses ciseaux, son aiguille Pensant que j’s’rais content En recoupe tout autant Puis comme une innocente Va se coucher, contente {x2 :} S’disant : Papa Léon Aura son pantalon Après un coup pareil Sans songer au sommeil Voilà-t-y pas qu’ma bonne Excellente personne Voyant qu’tout l’monde dormait À travailler se met Et pour plaire à ses maîtres En r'coupe vingt centimètres {x2 :} S’disant : D’main, mon patron Aura son pantalon Si bien que c’pantalon Qu’était beaucoup trop long Est moins qu’une culotte Ah, tenez, j'en sanglote Pourtant dans mon malheur J’ai encore du bonheur En songeant qu’ma belle-mère Comme les autres eût pu faire {x2 :} Et rogner jusqu’au fond C’malheureux pantalon |
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