Recherche tout champ | Recherche avancée | Nouvelle recherche | Page d'accueil |
Titre : | Tiens la bougie |
Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Gaber, Gaétan ; Letourier, P. ; Mortreuil, Félix |
Interprète(s) : | Terneuze |
Fichier audio : | |
Photo(s) : | ![]() |
Support d'enregistrement : | Disque |
Format : | 30 cm saphir (enregistrement acoustique) |
Lieu d'enregistrement : | Paris, France |
Marque de fabrique, label : | Phrynis |
Numéro de catalogue : | S1177 |
Numéro de matrice : | 97849v |
Vitesse (tours/minute) : | 84 |
Matériel employé au transfert : | Garrard 401, SME 3012, pointe 2,8ET sur Stanton, Elberg MD12 : courbe flat, Cedar X declick, decrackle, dehiss |
Date du transfert : | 07-06-2010 |
Commentaires : | Texte du contenu ci-joint. |
Texte du contenu : | Tiens_la_bougie
Création : Delmarre (1910) - reprises : Mansuelle, Alcide Terneuze, Sarvey - Paroles : P. Letourier, Félix Mortreuil - Musique : Gaétan Gaber - Éditeur : Julien Hardy (1911) La bougie est une chose utile Et surtout très fragile Dans un ménage pour s’éclairer Nul ne peut s’en passer C’est avec cette lumière française Qu’on cherche les punaises Et l’on dit à sa femme la nuit En fouillant les draps d’lit : Voilà le moment d’actionner Faut pas t’émotionner {Refrain :} Tiens donc bien la bougie, Pélagie Tiens-la, tiens-la, ne la renverse pas Ne la s’coue pas par trop, ma jolie Tiens-la, tiens-la, ou sans ça elle coul’ra À minuit comme il est d’usage Le soir de leur mariage Deux jeunes mariés très amoureux Rentrent viv’ment chez eux L’époux dit à sa femme chérie : Allume la bougie Et comme nous allons nous coucher Voilà le chandelier Et fais bien attention, mon chou En la mettant dans l’trou {au Refrain} Pour mettre du vin en bouteille Un vrai jus de la treille J’dis à ma cousine : Mon trognon À la cave, descendons Comme y faut pas qu’on tergiverse Pour mettre la pièce en perce J’introduis sans savoir jusqu'où La canelle par-dessous Et comme je n’y voyais pas bien Je lui dis : Mon p’tit chien {au Refrain} Bref, quand j’ai touché ma quinzaine Je fais mes p’tites fredaines Et cligne de l’œil sur les boul’vards Aux p’tites femmes de hasard Hier soir comme j’étais pompette J’monte chez une gigolette Mais au bon moment d’éclairer Je m’sentis fatigué Je lui dis : Ne t’inquiète pas Ma poupoule, ça viendra {au Refrain} |
Recherche tout champ | Recherche avancée | Nouvelle recherche | Page d'accueil |