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Titre : | Liline |
Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Christiné, Henri |
Interprète(s) : | Lack, Paul [Léopold Postieau] |
Genre : | Café-concert |
Fichier audio : | |
Photo(s) : | ![]() |
Support d'enregistrement : | Disque |
Format : | 30 cm saphir (enregistrement acoustique) |
Lieu d'enregistrement : | Paris, France |
Marque de fabrique, label : | Opéra |
Numéro de double-face : | 627 |
Numéro de catalogue : | S1042 |
Vitesse (tours/minute) : | 80 |
Matériel employé au transfert : | Garrard 401, SME 3012, pointe 2,8ET sur Stanton, Elberg MD12 : courbe flat, passe-bas, Cedar X declick, decrackle, dehiss |
Date du transfert : | 07-06-2010 |
Commentaires : | Texte du contenu ci-joint. |
Texte du contenu : | Liline
Création : Fragson (1912) - reprises : Paul Lack, Grafson - Paroles, musique et édition : Christiné L'autre soir, place Pigalle Dans un café d' nuit Une danseuse idéale Par qui j' fus séduit En lui payant du champagne J' lui d'mandai son p'tit nom Avec l'accent de l'Espagne Gentiment elle me répond : Yo viens d' Buenos Aires Yo m'appelle Mamour La Carolina ou Liline tout court {Refrain :} Elle vient de l'Argentine Liline Liline Elle danse d'une façon divine Sans jamais s' lasser Sa jambe provocante Troublante M'enchante Et sa croupe est tell'ment éloquente Qu'on dirait qu'elle va vous parler Pleine d'élégance Elle vous danse La katoucha, la boléro, la bañera ou le tango Elle se trémousse Elle se retrousse Montrant ses deux mollets Olé ! Je fis la cour à la belle Qui n' voulut rien savoir Elle se montra cruelle Et me dit, un soir : Apprends la danse espagnole Et t'auras tout mon cœur Pour conquérir mon idole J' pris des l'çons chez un danseur À vingt francs l' cachet C'était un peu cher Mais je me disais L'vant la jambe en l'air : {Refrain :} Elle vient de l'Argentine Liline Liline En mesure au son d' la mandoline J'apprenais l' tango Tortillant ma bedaine Plein d' gêne Quelle peine ! Je m' disais : J'aurai vraiment d' la veine Si j' fais ça sans y laisser ma peau Plein d' courbatures De meurtrissures J'avais les reins durs comme du bois Et les mollets en pâté d' foie Les haches molles Les jambes folles Le ventre décollé Olé ! |
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