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Titre : | Les exploits d'un trombone |
Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Spencer, Émile ; Delormel, Lucien ; Garnier, Léon |
Interprète(s) : | Dutreux, Paul |
Genre : | Café-concert |
Fichier audio : | |
Photo(s) : | ![]() |
Support d'enregistrement : | Disque |
Format : | 17 cm aiguille (enregistrement acoustique) |
Lieu d'enregistrement : | Bruxelles, Belgique |
Marque de fabrique, label : | Zonophone international Company |
Numéro de catalogue : | 1187 |
Date de l'enregistrement : | 1902-jan.-mar. |
État : | monté |
Vitesse (tours/minute) : | 82 |
Matériel employé au transfert : | Garrard 401, SME 3012, pointe 3,5ET sur Stanton, Elberg MD12 : courbe HMV, Cedar X declick, decrackle, dehiss |
Date du transfert : | 27-05-2010 |
Commentaires : | Texte du contenu ci-joint. |
Texte du contenu : | Les exploits d'un trombone
Création : Paulus (1891) - reprises : Bravo, Dutreux Paroles : Lucien Delormel, Léon Garnier - Musique : Emile Spencer - Éditeur : Delormel - Paris (1891) Bravo sur Gramophone : En revenant d’la r’vue du régiment Un jeune et beau trombone [Dutreux : Un jour, un jeune trombone] À l’humeur folichonne Vit une nounou qui tendait sur un banc Un globe de son corsage À son gosse en bas âge Ah ! lui dit le troupier Histoire de rigoler Je voudrais embrasser Ce jeune particulier Je me nomme Sébastien La nounou dit : J’veux bien Seulement, faites attention De n’pas faire confusion {Refrain :} Le brave trombone à coulisse S’approchant de la belle nourrice Se pencha Et resta tout baba [Dutreux : Mais restait tout baba] En r’luquant Son joli fourniment [Dutreux : Ce joli fourniment] Son cœur battait tellement la m’sure Qu’au lieu d’embrasser la figure Du marmot Il mit un gros bécot À l’étage qu’était bien plus haut [Dutreux : À l’étage qu’était plus haut] Mi sol do Ah ! saperlotte que je suis maladroit ! S’écrie l’brave militaire J’vas r’commencer l’affaire [Bravo sur Odéon : J'vais r'commencer l'affaire] Mais la nounou fermant l’corsage étroit Rentra son hémisphère Au fond de l’étagère L’trombone qu’était rupin Fit l’offre d’un sapin La nourrice accepta Le musicien monta Cocher à l’heure, au bois Dit-il à demi-voix L’cocher tout en roulant Fredonnait doucement : {Refrain :} Je crois que l’trombone à coulisse Va dire deux mots à la nourrice Eh ! hue donc Cocotte, pas d’émotion Ces choses-là Ne nous regardent pas Proximativement je l' suppose [Dutreux : Proximativement je suppose] Il va lui jouer quelque chose [Dutreux : Qu'il va lui jouer quelque chose] Marche au pas Cocotte, nous pressons pas… Les bourgeois ne s’en plaindront pas [Dutreux : Les bourgeois, i's n' s'en plaindront pas] Ré fa la |
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