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Titre :Nous étions sept
Compositeur(s) et-ou auteur(s) :Antoine Queyriaux ; Duhem ; Émile Chicot ; A. Sanson
Interprète(s) :Bravo
Genre :Café-concert
Fichier audio :
Photo(s) :Photo
Support d'enregistrement :Disque
Format :17 cm aiguille (enregistrement acoustique)
Lieu d'enregistrement :Paris, France
Marque de fabrique, label :Gramophone and Typewriter
Numéro de catalogue :32618x
Numéro de matrice :515f
Date de l'enregistrement :1902
Instruments :piano acc.
État :meilleur que les autres exemplaires?
Vitesse (tours/minute) :78
Matériel employé au transfert :Garrard 401, SME 3012, pointe 2,5ET sur Stanton, Elberg MD12 : courbe flat, Cedar X declick, decrackle, dehiss
Date du transfert :29-05-2010
Commentaires :Texte du contenu ci-joint.
Texte du contenu :Nous étions sept

Création : Albens (1894) - reprises : Croidel, Bravo, Claudius, Dranem, Valyd - Paroles : Émile Chicot, Albert Sanson - Musique : Émile Duhem, Antoine Queyriaux


Bravo :
On s'embêtait ferme au quartier
Mais voyant le soleil briller
On se dit entre camarades :
C'est l' coup d' s'en aller en balade
Ah ! dame ! il faut vous dire que…

{Refrain :}
Nous étions sept
Y avait Michaud, y avait Langlois,
Y avait Landouillard, y avait moi
Y avait Berlurond, Cassoulette
Y avait aussi Jean La Tripette
Nous étions sept

On quitte la caserne aussitôt
On marchait sans se dire un mot
Quand je reluque une petite boulotte
Qu' était rud'ment faite, saperlotte !
Ah ! j'aurais bien voulu lui dire deux mots en particulier
Mais voilà, c'est que…

{au Refrain}

Elle était bonne chez des bourgeois
Mais elle voulut pas faire son choix
Pour n' pas commettre d'impolitesse
Elle nous dit à tous son adresse
Ah ! c'était très commode pour aller la voir, vous savez, hé
On avait chacun son jour dans la semaine
Puisque…

{au Refrain}

Tout alla bien pendant quéqu' temps
Mais il nous vint des embêt'ments
La petite avec un air féroce
Dit qu'en tout cas j'avais un gosse (?)
Ah ! ben non, v'là n'un sale fourbi
Aussi, le lendemain, vous savez, personne n'est plus venu la voir
Et le surlendemain non plus
Et ni un autre jour et cependant, vous savez

{au Refrain}

Quand il a su ça, notre colon
M'a dit : Tu vas vite, mon garçon
Reconnaître l'enfant de cette fille
V'là comment je suis père de famille
Et pendant c' temps-là, les autres y se foutent de ma poire, vous savez
Et j'ai beau y dire : Mon colonel, vous savez, c'est pas moi
Puisque....

{au Refrain}

Ah ! mon colonel, c'est pas d' ma faute

----------------
Anonyme :

On s'embêtait ferme au quartier
Mais voyant l' soleil briller
On s' dit comme ça entre camarades :
Eh ben, c'est l' coup de' s'en aller en balade
On quitte la caserne aussitôt
On marchait sans se dire un mot
Quand je r'luque une petite boulotte
Oh la la la la ! qu'était rud'ment faite, saperlipopotte !
J'y aurais bien dit deux mots en particulier
Mais voilà, c'est que…

{ Refrain :}
Nous étions sept
Y avait Michaud, y avait Langlois,
Y avait Landouillard, y avait moi
Y avait Berlurond, Cassoulette
Y avait aussi Jean La Tripette
Nous étions sept

Elle était bonne chez des bourgeois
Mais elle voulut pas faire son choix
Pour n'pas commettre d'impolitesse
Elle nous r'mit à tous son adresse
Mais v'là-t-y pas qu'au bout d' quéqu'mois
Etant d' planton, qui que vois ?
La p'tite bobonne, nom d'une giberne
Qui s' dirigeait vers la caserne
Elle avait un p'tit pékin au maillot
Et v'là-t-y pas qu'elle m' le colle dans les bras
En m' souriant : C'est toi qu'es son père
Et pendant c' temps-là, les autres y rigolent de ma poire
C'est c' qui m' fait l' plus ficher en rage
C'est qu'y faut que j' sois l' père d'un civil
Alors qu' tous nous n'étions qu' des militaires
Puisque...

{au Refrain}



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