Paroles : Fernand Disle - Musique : Gaston Maquis
Mercadier et Maréchal :
Toi dont les yeux m'ont captivé
Parisienne toute charmante
Il me semble que j'ai rêvé
Depuis que je t'ai pour amante
Combien dureront nos amours
Nos baisers, nos folles caresses ?
Tu jures de m'aimer toujours
Mais tes lèvres sont bien traîtresses
{Refrain :}
L'amour des belles n'a qu'un temps
Il s'enfuit comme le printemps !
Fragiles bonheurs que les nôtres
Aujourd'hui je suis ton amant
Et je t'adore follement
Toi, tu m'aimes tout simplement
Comme les autres !
Comme les autres !
Petits chagrins, petits bonheurs
Telle est la dot de nos maîtresses,
Pauvres fous qui donnons nos cœurs
En pâture aux enchanteresses !
Mais lassés de tes trahisons,
En mettant leur cœur dans leur poche,
D'autres t'ont tourné les talons
Sans te dire un mot de reproche
{Refrain :}
L'amour des belles n'a qu'un temps
Il s'enfuit comme le printemps !
Fragiles bonheurs que les nôtres
Aussi, las de souffrir en vain,
À mon tour, ce soir ou demain
Je te quitterai, c'est certain
Comme les autres !
Comme les autres !
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Anonyme :
Toi dont les yeux m'ont captivé
Parisienne toute charmante
Il me semble que j'ai rêvé
Depuis que je t'ai pour amante
Combien dureront nos amours
Nos baisers, nos folles caresses ?
Tu jures de m'aimer toujours
Mais tes lèvres sont bien traîtresses
{Refrain :}
L'amour des belles n'a qu'un temps
Il s'enfuit comme le printemps !
Fragiles bonheurs que les nôtres
Aujourd'hui je suis ton amant
Et je t'adore follement
Toi, tu m'aimes tout simplement
Comme les autres !
Comme les autres !
Lorsque je t'ai là, près de moi
Je me dis : Ce serait dommage
Qu'elle abandonne un jour mon toit
Pour habiter une autre cage !
L'hirondelle au vol infini
Revient quand la campagne est verte ;
Si ton cœur retrouve le nid
Ma porte sera grande ouverte !
{au Refrain}