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Titre : | D'elle à lui | ||
Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Marinier, Paul | ||
Interprète(s) : | Thibaud, Anna | ||
Genre : | Café-concert | ||
Fichier audio : | |||
Photo(s) : |
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Support d'enregistrement : | Disque | ||
Format : | 25 cm aiguille (enregistrement acoustique) | ||
Lieu d'enregistrement : | Paris, France | ||
Marque de fabrique, label : | Homophone | ||
Numéro de catalogue : | 8488 | ||
Numéro de matrice : | A1 | ||
Inscriptions complémentaires : | C6U | ||
Vitesse (tours/minute) : | 84 | ||
Matériel employé au transfert : | Garrard 401, SME 3012, pointe 3,3ET sur Stanton, Elberg MD12 : courbe flat, passe-bas 3k, Cedar X declick, decrackle, dehiss | ||
Date du transfert : | 12-06-2010 | ||
Commentaires : | Texte du contenu ci-joint. Coquille sur l'étiquette : le titre de cette chanson de Paul Marinier est simplement "D'elle à lui", à ne pas confondre avec "Sérénade d'elle à lui", paroles d'Alphonse Siegel, musique de Félicien Vargues. | ||
Texte du contenu : | D'elle à lui (Ce qu'une femme n'oublie pas)
Création : Yvette Guilbert (1898 à la Scala) - reprises : Anna Thibaud, Mlle Stelly, Adèle Verly, Barbara... Paroles et musique : Paul Marinier - Éditeur : Dupont Tu m'écris, Léon, qu'il faut que j' t'oublie Parce que dans quèques jours tu dois te marier C' que tu m' demandes là, vrai, c'est d' la folie Car y a des amours qu'on n' peut oublier J' te l'ai toujours dit, tu fus l' premier homme Qui m'ait, chaste et pure, tenue entre ses bras Oh ! aïe, aïe, ma mère, malgré tout, en somme Vois-tu, c'est une chose qu'une femme n'oublie pas En c' temps-là, t'étais pas mis comme un prince Tu gagnais quèque chose comme cent francs par mois Quand on a l' ventre creux, on a la taille mince J'aime pas les gros hommes et t'étais d' mon choix Je m'nais une vie sobre tout autant qu' rangée Ah ! tu t' souviens plus d' ça à présent qu' t'es gras C' que j'en ai mangé d' la vache enragée ! Vois-tu, c'est une chose qu'une femme n'oublie pas Et l' jour où j' t'ai dit : J' crois que j' vais être mère Vrai, un enfant d' toi, c'était fabuleux Tu m'as répondu : Rengaine ça, ma chère Pas d' petit salé, nous sommes assez d' deux Ah ! tu t' fichais bien d' l' av'nir de la France Ça prouve, mon pauvre vieux, qu' si t'es muff', hélas ! C'est pas d'aujourd'hui qu' j'en fais l'expérience Tout d' même, y a des choses qu'une femme n'oublie pas |
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