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Titre : | Le coeur des mamans |
Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Maquis, Gaston ; Will ; Plébus |
Interprète(s) : | Alin, Pierre |
Genre : | Café-concert |
Fichier audio : | |
Photo(s) : | ![]() |
Support d'enregistrement : | Disque |
Format : | 27 cm aiguille (enregistrement acoustique) |
Lieu d'enregistrement : | Paris, France |
Marque de fabrique, label : | Odeon International talking machine Co.m.b.H. |
Numéro de catalogue : | 97095 |
Numéro de matrice : | xp4465 |
Date de l'enregistrement : | 1908 |
Instruments : | piano acc. |
Vitesse (tours/minute) : | 76 |
Matériel employé au transfert : | Garrard 401, SME 3012, pointe 2,0ET sur Stanton, Elberg MD12 : courbe flat, passe-bas, Cedar X declick, decrackle, dehiss |
Date du transfert : | 13-06-2010 |
Commentaires : | Texte du contenu ci-joint. Pierre Alin, le premier amant de Marie Dubas. Mort dans un train. |
Texte du contenu : | Le coeur des mamans
Création : Mayol (1904) - Paroles : Will, Plébus - Musique : Gaston Maquis - Éditeur : A. Rouart, Lerolle - Paris (1904) Jean vivait près de sa maman Qu’il aimait de toute son âme Mais lorsqu’il eut passé vingt ans Il connut l’amour d’une femme Ce fut un chagrin douloureux Pour le cœur de la pauvre mère Mais refoulant sa peine amère Indulgente, elle ferma les yeux {Refrain :} Le cœur des mamans Est si grand ! si grand !… Qu’il s’ouvre à toutes les tendresses Elle lui dit : Mon Jean ! Garde-moi seulement Une petite part de tes caresses Maman, ne crains rien Je t’aimerai bien Et Jean, l’âme remplie d’ivresse Connut le bonheur, partageant son cœur Entre sa mère et sa maîtresse C’est toujours le même roman : La maîtresse fut infidèle Et partit un jour en riant Jean n’entendit plus parler d’elle Affligé d’un chagrin mortel Trainant partout son âme lasse Il revint un soir tête basse Frapper au logis maternel {Refrain :} Le cœur des mamans Est si grand ! si grand !… Qu’il s’ouvre à toutes les détresses Elle tendit ses bras Lui disant tout bas : Réfugie-toi dans ma tendresse Chasse tes soucis Ta place est ici Mais, souviens-toi, c’est la sagesse L’amour des mamans Dure plus longtemps Il vaut mieux qu’ celui des maîtresses |
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