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Titre : | Ben mon cochon |
Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Sainclair, Louis ; Delormel, Lucien ; Garnier, Léon |
Interprète(s) : | Anonyme(s) ou interprète(s) non identifié(s) |
Genre : | Monologue comique |
Fichier audio : | |
Support d'enregistrement : | Cylindre |
Format : | Lioret n°4 en 2 parties (enregistrement acoustique) |
Lieu d'enregistrement : | Paris, France |
Marque de fabrique, label : | Lioret |
Date de l'enregistrement : | 1899-1901 |
Instruments : | Déclamation, diction, monologue |
Couleur de la pâte : | Celluloïd blanc |
Vitesse (tours/minute) : | 113 |
Matériel employé au transfert : | Archéophone, pointe 2,3ET sur Stanton, Elberg MD12 : courbe flat, passe-bas, Cedar X declick, decrackle, dehiss |
Date du transfert : | 18-06-2010 |
Commentaires : | Texte du contenu ci-joint. Henri Lioret n'a jamais eu la maîtrise technique de son propre brevet consacré au moulage et à la duplication des cylindres, c'est pourquoi on ne trouve jamais deux exemplaires de la même session d'enregistrement chez Lioret. Voir à ce propos : Henri Chamoux, La diffusion de l'enregistrement sonore en France à la Belle Époque, 2015, pages 204 à 214 du pdf. |
Texte du contenu : | Ben mon cochon
Création : Paulus (1893) - reprise : Charlus - Paroles : Lucien Delormel, Léon Garnier - Musique : Louis Sainclair - Éditeur : Répertoire Paulus / Vargue - Paris (1893) Écoute, Mimile, faut que j' te l' dise Aussi vrai que nous v'là dans c' moment, La France commet une grosse bêtise En m' confiant pas el' gouvernement Si qu'on m' donn'rait la préférence Ah ! ah ! ah !… Ah ! tu verrais r'marcher tout l' fourbi Y a qu'un homme pour guider la France Et cet homme-là, vois-tu, c'est bibi ! - Oh ! ben, mon cochon Oh ! oh ! oh ! oh !… Oh ! tu t' montes rien l' bourrichon, dis donc Oh là là, malheur ! - Ainsi, toutes les femmes infertiles Les celles qui peuvent pas avoir-e d' marmots Parce que leurs maris sont estériles J' les f'rais monter dans mon garno Quand même qu'elles s'raient deux cents mille Et j' te promets qu'au bout d' neufs mois Elles f'raient des gars, oh ! oh là là là ! T'entends, Mimile, solides, râblés et… et beaux comme moi - Oh ! oh ! oh ! oh !… Oh ! ben, mon cochon Oh ! tu te l' montes rien l' bourrichon Oh là là, malheur ! Oh ! mince ! - D'abord, avec moi, plus d' frontière Et si qu' les rois faisait trop d' pets Sous l' prétexte d' leur-z'y payer un verre J' les f'rais v'nir tous et j' leur-z'y dirais : Nos peuples, y n' veulent plus d' guerre C'est donc nous autres qui va s' chiquer Et à grands coups d' ribouis dans l' derrière Ah ! ah !… Ah là là, malheur ! aussi vrai, tu verrais si j' les f'rais valser, va ! Mince qu'y prendraient quéqu' chose pour leur rhume, hé hé ! - Oh ! ben, mon cochon Eh ben ! tu t' montes rien l' bourrichon, mon vieux - Ah oui, je l' monte un peu, hein, ah oui, un peu trop là, oh là là, malheur, oh là là… ah ! mince |
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