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| Titre : | La Périchole ; air de la lettre |
| Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Jacques Offenbach ; Ludovic Halévy ; Henri Meilhac |
| Interprète(s) : | Juliette Simon-Girard |
| Genre : | Opéra bouffe |
| Fichier audio : | |
| Photo(s) : | |
| Support d'enregistrement : | Disque |
| Format : | 25 cm aiguille (enregistrement acoustique) |
| Lieu d'enregistrement : | Paris, France |
| Marque de fabrique, label : | Gramophone and Typewriter |
| Numéro de catalogue : | GC-3372 |
| Numéro de matrice : | 2114f-II-cs |
| Date de l'enregistrement : | 1903 |
| Instruments : | chant femme, piano acc. |
| État : | Exc |
| Vitesse (tours/minute) : | 77,2 |
| Matériel employé au transfert : | Garrard 401, SME 3012, pointe 3,3ET sur Stanton, Elberg MD12 : courbe US, passe-bas 1,6kHz, Cedar X declick, decrackle, dehiss |
| Date du transfert : | 26-01-2011 |
| Commentaires : | Texte du contenu ci-joint. |
| Texte du contenu : | La Périchole ; air de la lettre
Création : Hortense Schneider (1868) - Paroles : Ludovic Halévy, Henri Meilhac - Musique : Jacques Offenbach Oh mon cher amant, je te jure Que je t'aime de tout mon cœur Mais vrai, la misère est trop dure Et nous avons trop de malheurs ! Tu dois le comprendre toi-même Que cela ne saurait durer Et qu'il vaut mieux… Dieu que je t'aime ! Et qu'il vaut mieux nous séparer ! Crois-tu qu'on puisse être bien tendre Alors que l'on manque de pain À quels transports peut-on s'attendre En s'aimant quand on meurt de faim ? Je suis faible, car je suis femme Et j'aurai rendu quelque jour Le dernier soupir, ma chère âme Croyant en pousser un d'amour ! Ces paroles-là sont cruelles Je le sais bien, mais que veux-tu ? Pour les choses essentielles Tu peux compter sur ma vertu ! Je t'adore ; si je suis folle C'est de toi, compte là-dessus Et je signe la Périchole Qui t'aime mais qui n'en peut plus ! |
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