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Titre : | La chercheuse d'esprit ; Un jour, au fond d'un vert bocage |
Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Audran, Edmond ; Favart, Charles-Simon |
Interprète(s) : | Piccaluga, Albert |
Genre : | Opéra-comique |
Fichier audio : | |
Photo(s) : | ![]() |
Support d'enregistrement : | Disque |
Format : | 17 cm aiguille (enregistrement acoustique) |
Lieu d'enregistrement : | Paris, France |
Marque de fabrique, label : | Gramophone and Typewriter |
Numéro de catalogue : | 2-32008 |
Numéro de matrice : | 1328f |
Date de l'enregistrement : | 1902 dec. |
Instruments : | piano acc. |
État : | Exc++, puis crépite de plus en plus |
Vitesse (tours/minute) : | 80,5 |
Matériel employé au transfert : | Garrard 401, SME 3012, pointe 2,0ET sur Stanton, Elberg MD12 : courbe HMV, passe-bas 4,5kHz, Cedar X declick, decrackle, dehiss |
Date du transfert : | 23-02-2011 |
Commentaires : | Texte du contenu ci-joint. Stimbre édition phonographique autorisée par l'éditeur propriétaire - exclusif Gramophone |
Texte du contenu : | La chercheuse d'esprit ; un jour au fond d'un vert bocage
Paroles : Charles-Simon Favart (1741) - Musique : Edmond Audran (1864) - Publication : Chez Benjamin Gibert (1743) - Éditeur musical : Choudens père et fils, Paris (1864) Un jour, au fond d'un vert bocage Ton gai minois frais et vermeil Mignonne, m'apparut à travers le feuillage Et m'éblouit tout comme le soleil Car tu dormais et ton souffle, coquine Soulevait ta poitrine J'admirai ton sommeil Me penchant hors de ma cachette Vers ton minois frais et vermeil Je saisis en passant ta menotte blanchette Qui me brûlait ainsi que le soleil Tout doucement je t'avais embrassée Tu te l'vas, courroucée J'admirai ton réveil |
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