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Titre : | Le roi d'Ys ; vainement ma bien aimée |
Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Lalo, Edouard ; Blau, Édouard |
Interprète(s) : | Rousselière, Charles |
Genre : | Opéra |
Fichier audio : | |
Photo(s) : | ![]() |
Support d'enregistrement : | Disque |
Format : | 29 cm saphir sans étiquette, (enregistrement acoustique) |
Lieu d'enregistrement : | Paris, France |
Marque de fabrique, label : | Pathé |
Numéro de double-face : | 136 |
Numéro de catalogue : | 4711 |
Numéro de matrice : | 97278RA(5) |
Inscriptions complémentaires : | 1914-12-21 |
Date de l'enregistrement : | 1906-07-xx ? |
Instruments : | orchestre acc. |
État : | Exc++ |
Vitesse (tours/minute) : | 91,4 |
Matériel employé au transfert : | Garrard 401, SME 3012, pointe 3,7ET sur Stanton, Elberg MD12 : courbe HMV, passe-bas 6kHz, Cedar X declick, decrackle, dehiss |
Date du transfert : | 01-03-2011 |
Commentaires : | Texte du contenu ci-joint. |
Texte du contenu : | Vainement ma bien aimée
de l'opéra Le roi d'Ys (1888) - chanté par Adolphe Maréchal, Léon Beyle, Albert Vaguet, Sardet, etc... Paroles : E. Blau - Musique : Edouard Lalo Puisqu'on ne peut fléchir ces jalouses gardiennes Ah ! laissez-moi conter mes peines Et mon émoi Vainement, ma bien aimée On croit me désespérer Près de ta porte fermée Je veux encore demeurer Les soleils pourront s'éteindre Les nuits remplacer les jours Sans t'accuser et sans me plaindre Là-haut, je resterai toujours Toujours Je le sais, ton âme est douce Et l'heure bientôt viendra Où la main qui me repousse Vers la mienne se tendra Ne sois pas trop tardive À te laisser attendrir Si Rozenn bientôt n'arrive Je vais, hélas, mourir Hélas, mourir |
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