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Titre : | Le Timbre d'argent ; chanson Napolitaine : de Naples à Florence |
Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Saint-Saëns, Camille ; Barbier, Jules ; Carré, Michel |
Interprète(s) : | Soulacroix, Gabriel |
Genre : | Drame lyrique |
Fichier audio : | |
Photo(s) : | ![]() |
Support d'enregistrement : | Disque |
Format : | 17 cm aiguille (enregistrement acoustique) |
Lieu d'enregistrement : | Paris, France |
Marque de fabrique, label : | Berliners' Gramophone |
Numéro de catalogue : | 32676 |
Numéro de matrice : | 1093g |
Date de l'enregistrement : | 1900-08-14 |
Instruments : | piano acc. |
État : | Exc++ |
Vitesse (tours/minute) : | 70 |
Matériel employé au transfert : | Garrard 401, SME 3012, pointe 4,0ET sur Stanton, Elberg MD12 : courbe HMV, passe-bas 5kHz, Cedar X declick, decrackle, dehiss |
Date du transfert : | 07-03-2011 |
Commentaires : | Texte du contenu ci-joint. |
Texte du contenu : | Le timbre d'argent, chanson napolitaine : de Naples à Florence
Création : Léon Melchissédec (1877 au théâtre national lyrique à Paris) - paroles : Jules Barbier, Michel Carré - musique : Camille Saint-Saëns - Éditeur : Choudens père et fils, Paris De Naples à Florence et de Parme à Vérone Chacun connaît Caméléone Et ses chansons d'amour Des vers que j'improvise au son de ma guitare Je ne suis point avare Moi, je fais fi de l'or ! Et je ne demande à ceux que j'égaie Qu'un sourire et moins encor Et je ne demande à ceux que j'égaie Qu'un sourire et moins encor, et moins encor, et moins encor ! C'est en applaudissant mes chansons qu'on me paie Je chante nuit et jour Le bon vin et l'amour Je chante nuit et jour Le bon vin et l'amour Ma voix est vive Tendre et plaintive Parlez ! parlez ! parlez ! Il faut me dire Si vous voulez Pleurer ou rire Parlez ! Ah ! De Naples à Florence et de Parme à Vérone Chacun connaît Caméléone Et ses chansons d'amour Des vers que j'improvise au son de ma guitare Je ne suis point avare Moi, je fais fi de l'or ! Et je ne demande à ceux que j'égaie Qu'un sourire et moins encor Et je ne demande à ceux que j'égaie Qu'un sourire et moins encor, et moins encor, et moins encor ! C'est en applaudissant mes chansons qu'on me paie |
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