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Titre : | J'aurais pas cru qu'c'était si bon |
Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Faure, Louis |
Interprète(s) : | Pontis |
Genre : | Monologue comique |
Fichier audio : | |
Support d'enregistrement : | Disque |
Format : | 19 cm aiguille (enregistrement acoustique) |
Lieu d'enregistrement : | Paris, France |
Marque de fabrique, label : | Odeon International talking machine Co.m.b.H. |
Numéro de catalogue : | 3066 |
Date de l'enregistrement : | 1903 |
Instruments : | Déclamation, diction, monologue |
État : | Exc++, fêlé |
Vitesse (tours/minute) : | 82,4 |
Matériel employé au transfert : | Garrard 401, SME 3012, pointe 3,3ET sur Stanton, Elberg MD12 : courbe flat, passe-bas 4,5kHz, Cedar X declick, decrackle, dehiss |
Date du transfert : | 16-03-2011 |
Commentaires : | Texte du contenu ci-joint. |
Texte du contenu : | J'aurais pas cru qu' c'était si bon
Création : Réval (1887) - Paroles : Louis Faure - Éditeur : F. Bigot, Paris (1887) En voyant ma figure vermeille Vous dites : C'est un vieux soiffeur Détrompez-vous car d' la bouteille Je n' suis pas très amateur Mais quoique n'étant pas un ivrogne Je vous avouerai sans façon Que d' se rougir parfois la trogne Hé, j'aurais pas cru qu' c'était si bon J'étais soldat pendant la guerre Dans une section d'infirmiers J'aime mieux cette place austère Que la position des griviers Un matin, je bus en mystère Un jaune et limpide bouillon Qui devait être pris par derrière Eh ben, j'aurais pas cru qu' c'était si bon Je sais une manière sans pareille De rendre douce une moitié Employez-la, je vous l' conseille Pour consolider l'amitié Rien ne vaut mieux qu'une bonne pile Flanquée avec un grand bâton Car pour rendre ma femme docile J'aurais pas cru qu' c'était si bon Je possède une enfant très chouette Qui me fait passer du beau temps C'est une charmante fillette Qui touche à ses dix-huit printemps Lorsque je présente ma fille On me salue comme un baron Aussi, d'être père de famille J'aurais pas cru qu' c'était si bon On me racontait l'autre semaine Que rien n'était plus assommant Que rien ne faisait plus d' peine Que d'être d'un enterr'ment J'y suis allé l'année dernière Et j'étais gai comme un pinson Car d'enterrer ma belle-mère Hé, j'aurais pas cru qu' c'était si bon Un soir, l'esprit plein de malice À la noce de Jean Nédeux Je me cachai sans artifice Dans la chambre des épouseux Toute la nuit, à la sourdine J'entendis bouger le garçon Ah ! soupirait tout bas Rosine J'aurais pas cru qu' c'était si bon J'étais un jour en tête-à-tête Avec une femme à la hauteur Quand voilà qu' pour troubler la fête Je fus pris d'un lourd mal de cœur Il me fallut fuir, saperlotte ! En sout'nant mon pantalon Et quand je lâchai ma culotte J'aurais pas cru qu' c'était si bon |
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