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Partie 1 :
Winston Churchill, premier ministre de Grande-Bretagne, vient de faire son entrée dans le salon Jean-Paul Laurent de l'Hôtel de Ville de Paris, ayant à sa droite monsieur André Tollet, président du Comité parisien de la Libération, à sa gauche monsieur Charles Luizet, préfet de police. Actuellement, le premier ministre se fait présenter les sept délégués du Conseil national de la Résistance puis les membres du Comité parisien de la Libération. Voici que entre maintenant monsieur Anthony Eden, ministre des Affaires étrangères de Grande-Bretagne accompagné de monsieur Georges Bidault, ministre des Affaires étrangères du Gouvernement de la République ainsi que monsieur Massigli, ambassadeur de France en Grande-Bretagne, monsieur Duff Cooper, ambassadeur de Grande-Bretagne à Paris. Avant l'arrivée du premier ministre, madame Churchill et mademoiselle Churchill étaient entrées dans le salon ainsi que madame Anthony Eden. À son tour, monsieur Georges Bidault présente les sept membres du Conseil national de la Résistance à monsieur Anthony Eden et c'est aujourd'hui, pour la première fois, que le premier ministre de Grande-Bretagne prend contact avec la Résistance française et, parmi les éléments de cette Résistance, ceux qui en ont été à la tête, qui ont dirigé la Résistance de toute la France, ceux qui ont libéré Paris. Nous nommons le Conseil national de la Résistance et le Comité parisien de la Libération.
[applaudissements]
Après une allocution de bienvenue de messieurs Flouret et Tollet, monsieur Winston Churchill va parler. Il n'a aucun texte, aucun papier. Le premier ministre veut par sympathie improviser son discours en français. Monsieur Churchill parle notre langue avec difficulté mais il veut aujourd'hui redoubler ses efforts pour parler de Paris aux Français en français.
[applaudissements]
Monsieur Winston Churchill se lève...
[applaudissements]
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Partie 2 :
Monsieur le préfet de la Seine, monsieur le président du Comité parisien de la Résistance, messieurs, mesdames, c'est avec des sensations très vives que je me trouve ici cet après-midi et je vais vous donner cet avertissement : Prenez garde parce que je vais parler, essayer de parler français !
[rires, applaudissements]
Pays formidable et une ... les plus grandes demandes sur votre amitié pour la Grande-Bretagne.
Ici, à Paris c'est un réalisation extraordinaire pour moi. Jamais j'ai perdu la foi dans les citoyens de Paris. Dans les années dures, quand vous étez sous le joug des Boches, nous avons le but qui était une moindre maux en comparaison dans pendant tous les années j'ai vu toujours le sentiment d'unité avec le peuple de Paris
[applaudissements]
Cette cité immortelle d'où sont élevés des mouvements grandes de la libération du monde et qui est à tous les points de temps de sa longue histoire montré des facultés de guider le progrès du monde. Messieurs et mesdames, je n'ai jamais perdu ma foi dans l'armée française, jamais ! C'est bien possible que il y a des affaires mécaniques qui peut être prises par l'ennemi [//]
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Partie 3 :
[...] tu as les preuves. Si on est attaqué par deux mille chars d'assaut dont les canons qui les peuvent tuer et ils sont ..... Alors je suis sûr qui si avec nos .... de combattre ...l'armée française, on va montrer les qualités qui sont grandes en renommée impérissable dans les pages d'histoire. Des jeunes hommes du passé... Napoléon.... le tombeau de Napoléon..ressentir alors la puissance de l'armée française. Je parle ici non seulement à vous mais j'explique les sentiments d'Angleterre et aussi la politique de son gouvernement. L'armée française, une forte armée, le plus vite possible, est absolument nécessaire ... et qui pourra...