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Titre : | Tout le fourbi, chansonnette militaire |
Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Ouvrard, Éloi ; Meusy, Victor ; Gouget, Léon |
Interprète(s) : | Vallez |
Genre : | Café-concert : comique troupier |
Fichier audio : | |
Photo(s) : | ![]() |
Support d'enregistrement : | Disque |
Format : | 25 cm aiguille (enregistrement acoustique) |
Lieu d'enregistrement : | Paris, France |
Marque de fabrique, label : | Zonophone international Company |
Numéro de catalogue : | x-82755 |
Numéro de matrice : | 5189h |
Date de l'enregistrement : | 1907 |
Instruments : | orchestre acc. |
État : | Exc++ |
Vitesse (tours/minute) : | 75,8 |
Matériel employé au transfert : | Garrard 401, SME 3012, pointe 2,0ET sur Stanton, Elberg MD12 : courbe flat, passe-bas, 6kHz, Cedar X declick, decrackle, dehiss |
Date du transfert : | 21-05-2011 |
Commentaires : | Texte du contenu ci-joint. Sur l'étiquette : Vallez, le gai tourlourou |
Texte du contenu : | Tout le fourbi
Création : Éloi Ouvrard (1893 à la Scala) - Paroles : Victor Meusy, Léon Gouget - Musique : Éloi Ouvrard - Éditeur : A. Manuel - Paris (1893) L'autre jour, après l'exercice En me promenant dans l' bois d' Meudon Je vois une grosse nourrice En train de déboucher un bidon 'Pristi, que j' lui dis, la belle Y en a de trop pour le petit Je voudrais partager la gamelle Et tout le fourbi Et tout le fourbi Je m'approche et, quelle surprise ! Cette nourrice pleine de… séduction C'était Margot, une payse Voyez d'ici mon émotion J'en deviens si pâle que j'en grelotte C'était comme une danse Saint-Guy Et ça faisait trembler ma culotte Et tout le fourbi Et tout le fourbi Tiens, qu'elle me dit, c'est toi, Antoine ? C'est moi, qu' je réponds nonobstant Elle était rouge comme une pivoine Quand on s'assit conjointement Pendant qu'à son poupon qui bâille Ma main gauche faisait qui rit qui qui Ma main droite pressait sa taille Et tout le fourbi Et tout le fourbi Pour lors, que j'ajoute, ô déesse ! Posez votre mioche sans retard Parce que le feu de ma tendresse Y pourraient faire peur au moutard Afin de me sentir plus leste J'ôte mon sabre et puis… mon képi Puis je déboutonne ma veste Et tout le fourbi Et tout le fourbi Crac ! le clairon sonne la retraite Adieu, je remets mon ceinturon Ma capote et dessus ma tête J'enfonce mon… crénom de nom ! Pendant c't entretien plein de charmes Le moutard, assis sur mon képi Avait laissé couler ses larmes Et tout le fourbi (Ah ! le petit cochon) [ Zonophone x-82755] Et tout le fourbi (Ah ! le petit saligaud !) [ cylindre n°1463] |
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