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Titre : | Le Barbier de Séville ; je suis donc celle qu'il aime |
Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Rossini, Gioachino ; Castil-Blaze |
Interprète(s) : | Landouzy, Lise ; Rigaux |
Genre : | Opéra |
Fichier audio : | |
Photo(s) : | ![]() |
Support d'enregistrement : | Disque |
Format : | 27 cm aiguille (enregistrement acoustique) |
Lieu d'enregistrement : | Paris, France |
Marque de fabrique, label : | Odeon International talking machine Co.m.b.H. |
Numéro de catalogue : | 56133 |
Numéro de matrice : | xp3651 |
Date de l'enregistrement : | 1907 |
Instruments : | orchestre acc. |
État : | Exc++ |
Vitesse (tours/minute) : | 77,7 |
Matériel employé au transfert : | Garrard 401, SME 3012, pointe 2,8ET sur Stanton, Elberg MD12 : courbe flat, passe-bas 5.5kHz, Cedar X declick, decrackle, dehiss |
Date du transfert : | 13-07-2011 |
Commentaires : | Texte du contenu ci-joint. |
Texte du contenu : | Le barbier de Séville ; je suis donc celle qu'il aime
créé en version française le 06 mai 1824 à l'Odéon - Paroles : Castil-Blaze - Musique : Gioachino Rossini - La version française actuelle est créée le 08 novembre 1884 à l'Opéra-Comique ROSINE. Je suis donc celle qu'il aime Je suis donc celle qu'il aime Ah ! de son amour extrême J'ai déjà reçu l'aveu. Je suis donc celle qu'il aime Ah ! de son amour extrême J'ai déjà reçu l'aveu. J'ai déjà reçu l'aveu J'ai déjà reçu l'aveu. Mais, hélas ! mais hélas ! de Lindor tout me sépare. FIGARO. Ah ! gardez un doux espoir. Grâce à moi tout se prépare ; Ah ! gardez un doux espoir Ici, Lindor viendra vous voir. ROSINE. Il viendra ! c'est fort bien mais Il faut de la prudence ; Je brûle, je brûle d'impatience, Pourquoi tarder si longtemps ? FIGARO. Il voudrait de vos sentiments Obtenir au moins quelque signe ; Seulement une ligne Si vous daignez tracer seulement une ligne, Lindor ici dans l'instant se rendra. Lindor ici dans l'instant se rendra. Qu'en dites-vous ? ROSINE. Il viendra ! FIGARO. Ah ! daignez me remettre… ROSINE. Je n'oserais. FIGARO. Un seul mot. ROSINE. Non, je ne puis FIGARO. Un mot, rien que cela. (Allant au secrétaire, et montrant le papier, les plumes, etc. ) Le temps presse. Pour lui je réclame une lettre. ROSINE. Une lettre ? ha ! ha ! ha ! (Lui donnant la sienne) La voilà. FIGARO. Elle était prête ! Figaro, tu n'es qu'une bête, Et ton maître, le voilà. ROSINE, à part. Ah ! déjà tout me présage Déjà tout me présage Qu'il est digne, qu'il est digne de mon cœur. FIGARO, à part. Oui, vraiment d'un tel message C'est se tirer avec honneur. |
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