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Titre : | La lecture des évangiles - Conférence 3, face 2 |
Interprète(s) : | Durrleman, Freddy |
Genre : | Diction : sermon, poème |
Fichier audio : | |
Photo(s) : | ![]() |
Support d'enregistrement : | Disque |
Format : | 30 cm aiguille (enregistrement électrique) |
Lieu d'enregistrement : | Paris, France |
Marque de fabrique, label : | Pyral zinc - Radio Luxembourg - Foniric 22 rue Bayard, Paris 8e |
Numéro de catalogue : | Copie 2711 |
Date de l'enregistrement : | 1938-08-27 |
Instruments : | Déclamation, diction, monologue |
État : | abon, variable |
Vitesse (tours/minute) : | 78 |
Matériel employé au transfert : | Garrard 401, SME 3012, pointe 2,0ET sur Stanton, Elberg MD12 : courbe US30, passe-bas 6kHz, Cedar X declick, decrackle, dehiss |
Date du transfert : | 21-07-2011 |
Commentaires : | Texte du contenu ci-joint. Dans une boîte 'Les Maisons de la Cause - Carrières sous Poissy (S&O)'. Freddy Durrleman (1881-1944) 81 faces de disques, chacune de 3 à 4 minutes trente. |
Texte du contenu : | Freddy Durrleman
La lecture des évangiles - conférence 3, face 1 "Cieux, écoutez, terre, prête l'oreille car l’Éternel parle. Reçois l'enseignement de la bouche de Dieu et place ses paroles dans ton cœur. Israël, écoute les lois et les ordonnances que je vous enseigne. Mettez-les en pratique afin que vous viviez et que vous entriez en possession du pays que vous donne l’Éternel, le Dieu de vos pères. Vous n'ajouterez rien à ce que je vous prescris et vous n'en retrancherez rien mais vous observerez les commandements de l’Éternel votre Dieu tels que je vous les prescris". C'est poussés par le Saint-Esprit que des hommes ont parlé de la part de Dieu. "L’Évangile qui a été annoncé par moi n'est pas de l'homme car je ne l'ai ni reçu ni appris d'un homme mais par une révélation de Jésus-Christ. Nous ne falsifions pas la parole de Dieu comme beaucoup le font mais nous parlons avec sincérité comme de la part de Dieu, en Christ, devant Dieu." Monsieur le pasteur Freddy Durrleman continuera aujourd'hui son exposé sur la lecture des évangiles, il examinera quelques-unes des objections faites par nos contemporains dans cette lecture. Mesdames, messieurs, nous avons montré précédemment que l'objection courante "La lecture des évangiles est défendue par l’Église" ne résiste pas à un examen sérieux. Nous avons vu tout au contraire que l'on ne peut sans désobéir expressément à l’Église négliger la lecture des évangiles. Au surplus, messieurs, la question est plus haute, l'essentiel est de mettre les hommes en présence du Fils de l'Homme, c'est bien là le but poursuivi par toute la chrétienté. Si parfois et de façon tragique elle a failli à cette glorieuse mission, si les passions l'ont aveuglée, si le souci trop humain de ne pas donner aux fidèles des armes contre elle-même, contre les déviations intéressées où elle se complaisait en les encourageant à lire le petit livre dont tant de pages la condamnaient l'ont conduite à s'inscrire en faux contre les instructions les plus claires et les plus abondantes de ses meilleurs docteurs et de ses prélats les plus illustres, jamais pourtant elle n'a réussi à anéantir l'écho de leurs voix puissantes et, à l'heure de détresse où elle sent qu'elle perd la direction des esprit, conduite par un sûr instinct elle en vient à parler comme eux et comme eux à demander que place d'honneur soit faite à l’Évangile dans les cœurs et dans les mœurs. C'est être fidèle en vérité, messieurs, à la grande et pure tradition chrétienne que d'exhorter les hommes à la lecture de l’Évangile, d'en appeler de la pratique actuelle qui trop souvent croit faire œuvre pie de reléguer le livre sacré loin des profanes dans les savantes arcanes du sanctuaire.à la pratique ancienne que de rappeler que l’Évangile n'est pas l'apanage des prêtres mais le trésor commun de tous les fidèles. "Dans l'Antiquité, remarque monseigneur d'Hulst, l’Église a remis les saints livres aux mains des fidèles, ceux-ci en possédaient des exemplaires et les lisaient en famille. Où trouver dans cet ensemble de pratiques la moindre trace de défiance, le moindre indice de cette indifférence que les fidèles de nos jours témoignent pour une lecture réputée inutile, inaccessible ou dangereuse. On dirait vraiment aujourd'hui qu'il y a deux christianismes, l'un à l'usage des prêtres, l'autre à l'usage des fidèles". L’Évangile, messieurs, est pour tous, il est à tous, tous ont le droit de le lire. Le lire est pour chacun un devoir. Droit et devoir constituent un insigne privilège que n'a cessé de glorifier la plus antique, la meilleure, la plus docte, la plus sainte Église. -------------------------------------- La lecture des évangiles - conférence 3, face 2 L’Évangile, messieurs, n'est pas le livre d'un clergé, il est le livre du peuple, le livre des hommes, de tous les hommes puisqu'il est le livre du Fils de l'Homme, le livre de Dieu par excellence. Il n'est pas un livre pour initiés, il est le livre de l'initiation de toutes les créatures humaines à la vie impérissable et divine, il n'est pas un cierge à la lumière tremblotante qu'on allume dans la chambre d'un mort, il est la lumière prestigieuse qui à l'horizon se lève à l'aube d'une journée neuve et glorieuse de l'étape humaine. "Réserver l’Évangile à quelques-uns, n'était-ce point, dit un auteur catholique oublié, que les discours de Jésus, au lieu de se renfermer pour quelques initiés dans une enceinte soigneusement close ont au contraire retenti en plein air sur les places publiques, sur la pente des monts, sur la rive des lacs, au sein des foules populaires pressées autour de lui, parmi les ignorants, parmi les doctes, parmi les bons et les méchants, les grands et les petits, les justes et les pécheurs, parmi les juifs, les païens, les vieillards, les femmes, les enfants ? N'était-ce point oublier qu'il a été prescrit aux apôtres et à leurs successeurs d'annoncer partout ce même Évangile, à travers les siècles, et de le faire entendre ici-bas à tout être créé ? Allez dans le monde entier, prêchez l’Évangile à toute créature. Kéruzaté, dit le grec. Soyez-en comme les crieurs publics. N'était-ce point oublier que cet ordre était tellement absolu que, quand il arrivait à Notre Seigneur de prendre à part ses disciples et de s'entretenir avec eux en dehors des multitudes, il ne manquait pas de leur bien spécifier que ces paroles mêmes qu'il leur adressait alors en particulier devaient, après lui, être répétées et répandues comme tous ses autres enseignements : Ce que je vous expose présentement dans l'ombre, vous avez à le proclamer dans le plein jour et ce que vous entendez à l'oreille, vous avez à le prêcher sur les toits." La terreur que l'on eut de voir le lecteur s'égarer dans les sentiers de l'hérésie ferma les yeux sur ces recommandations du divin maître et sur la constante volonté de l’Église. Et voilà, messieurs, pourquoi le propos de La Cause est celui même qu'exprimait en ces termes excellents l'un des plus consciencieux et remarquables traducteurs en langue française de nos saints évangiles, l'éminent catholique et grand chrétien Henri Lasserre. "Profondément convaincu, disait-il, de la vertu sanctifiante et apostolique du livre divin, nous avons tendu dans la mesure de nos forces ou, pour mieux parler, dans la mesure de notre faiblesse à le rendre plus accessible à tous, à le mettre de nouveau, selon la tradition et le vœu de l’Église, dans la main des fidèles, à le placer aussi sous les yeux des incroyants, de ceux qui ne prient pas, de ceux qui ne franchissent jamais le seuil du temple et qui vivent comme si Dieu n'existait pas. Eh quoi ! s'écrieront peut-être quelques-uns, vous avez donc voulu traduire l’Évangile pour les gens du monde ------------------------------ La lecture des évangiles - conférence 3, face 3 ... et en jeter les feuillets sacrés sur ces tables profanes où s'étalent, hélas ! tant de romans et de funestes écrits ? Assurément, oui, et c'est bien là notre dessein. Et Dieu veuille que nous réussissions quelque peu à le réaliser. Est-ce que l’Évangile est autre chose que la parole même et l'exemple de Jésus-Christ perçant l'épaisseur des âges et se présentant à toutes les âmes pour qu'elles entendent et pour qu'elles voient ? Est-ce que, quand il descendit sur cette terre, Notre Seigneur n'adressa pas à tous ses enseignements ? Est-ce que même il n'est pas venu plus encore pour les pécheurs que pour les justes ? Est-ce qu'on ne le voyait point à toute heure répandre la vérité partout où était l'erreur, le bien partout où était le mal, la santé où était la souffrance, la vie où était la mort, entrant dans la maison des publicains comme dans celle des pharisiens, rompant le pain avec tous, relevant Magdeleine accablée sous le poids de ses fautes, parlant de la rédemption à la Samaritaine, demandant et recevant l'hospitalité sous le toit de Zachée et ramenant ainsi par la grâce inhérente à la céleste doctrine tous les cœurs de bonne volonté qui n'étaient qu'égarés ? Car l'auditeur qui l'écoutait d'abord d'une oreille distraite devenait attentif, attentif il devenait disciple, disciple il devenait apôtre. Fasse la bénédiction du Seigneur qu'en passant par nos indignes mains l’œuvre des évangélistes n'ait rien perdu de sa force vivifiante et de sa vertu rénovatrice." La lecture des évangiles est inutile, messieurs, voilà la seconde des objections qui détourne beaucoup de personnes de la lecture des évangiles. Pour mettre les hommes en présence du Fils de l'Homme, la lecture personnelle et intégrale des évangiles est, dit-on, superflue. Cet indispensable contact ne rend pas indispensable cette lecture. Certes, nous avons le droit de la faire mais il est inutile que nous usions de ce droit. N'avons-nous pas à bien des égards plus et mieux que cette lecture-là ? Ainsi raisonnent, messieurs, nombre de nos contemporains. "Le paroissien nous suffit, disent-ils d'abord, les morceaux des évangiles qu'il contient sous le titre L’Évangile ont l'avantage de nous offrir l'essentiel de la tradition chrétienne primitive sans nous embarrasser des détails secondaires. C'est précisément l'expérience qui a amené l’Église à présenter sous cette forme abrégée, raccourcie l’Évangile au peuple. Pourquoi ne pas s'en tenir à une pratique qui a fait ses preuves ? pourquoi ne pas se contenter des extraits du paroissien ?" Parce que, messieurs, des extraits, si bien choisis qu'ils puissent être, ne donnent jamais l'impression exacte et complète fournie par l'ensemble. Posséder quelques pierres de la carrière, c'est bien. Posséder la carrière elle-même, c'est mieux. "Le Nouveau Testament de Notre Seigneur Jésus-Christ", tel est le titre traditionnel singulièrement suggestif du petit livre qui commence par les quatre évangiles. Le testament de notre maître, mais qui se contenterait de n'en connaître que des extraits ? qui ne voudrait voir le testament même, le testament tout entier, en avoir la copie la plus complète et la plus exacte ? ------------------------ La lecture des évangiles - conférence 3, face 4 Pourquoi ne pas se contenter des extraits du paroissien ? Parce que la présentation typographique même de ces extraits dans les paroissiens et les livres de messe leur ôte beaucoup de leur intérêt et de leur portée. Un excellent auteur catholique estime regrettable la façon dont on a imprimé ces fragments toujours précédés comme on sait de la formule traditionnelle "En ce temps-là". Quelque considérable que soit le passage cité, quelque distincts que puissent être les événements, les épisodes, les paroles, les dialogues, les discours qui sont relatés, on a adopté pour règle inflexible de ne jamais aller à la ligne, de courir ainsi tout d'une haleine du commencement jusqu'à la fin sans s'arrêter une seconde et sans prendre le temps de respirer. Les quatre récits de la passion que nous lisons durant le cours de la semaine sainte occupent chacun huit, dix et même douze pages ininterrompues. Pas une seule séparation, pas un seul intervalle, pas un seule faille. L'immense alinéa forme un bloc indivisible, une masse compacte où toutes les phrases se touchent, se pressent, se coagulent les unes aux autres de sorte que l'esprit, contraint par-là à une tension continuelle, en arrive à ne plus discerner les détails et ne reçoit de l'ensemble qu'une impression confuse. Pourquoi, messieurs, ne pas se contenter des extraits du paroissien ? Parce que le but même de l'apostolat chrétien, la manifestation éclatante et perpétuelle de Jésus au milieu des hommes, ne semble pas atteint par le seule pratique du paroissien si nous en croyons le témoignage des observateurs les plus autorisés. Monseigneur Mignot, dans sa préface au dictionnaire de la Bible de l'abbé Vigouroux déclare : "Au lieu de lire avec amour les pages écrites sous l'inspiration de Dieu, on se contentait d’en lire le dimanche les fragments détachés et sans suite contenus dans le paroissien. Il en est résulté une ignorance presque complète de l'Écriture dans le peuple chrétien". Monseigneur d'Hulst écrit avec lui : "Encore si les chrétiens instruits avaient conservé l'usage autrefois assez fréquent de lire chaque jour au moins les matines du saint livre mais il n'en est rien, on se contente aujourd'hui du paroissien qui contient par morceaux détachés et sans suite la cinquantième partie peut-être du Nouveau Testament et quelques pages de l'Ancien. Il en résulte qu'on ne connaît bien ni les évangiles ni les Actes des apôtres ni les Épîtres ni l'Apocalypse et qu'on ignore entièrement les livres de l'... ... S'autoriser les prescriptions de l’Église pour légitimer cette ignorance, c'est se conduire comme ferait un malade à qui le médecin aurait conseillé un choix d'aliments et qui, pour mieux obéir, se laisserait mourir de faim. Le chanoine Alfred Weber fit la même constatation... ------------------------- La lecture des évangiles - conférence 3, face 5 ... "Le Sauveur Jésus est-il connu de ceux qui font profession de lui appartenir ? Beaucoup, il est vrai, éprouvent le besoin de le contempler plein de grâce et de vérité tel qu'il a daigné se manifester aux hommes. "Nous voulons voir Jésus", disent-ils comme autrefois les gentils à l'apôtre ... mais leur désir ne s'..... Ils ne le voient pas dans le plein jour de l’Évangile intégral, ils ne font que l'entrevoir dans la pénombre des fragments du livre sacré qu'ils trouvent dans leur paroissien. Ainsi donc aujourd'hui, après bientôt deux mille ans de rédemption, Notre Seigneur Jésus-Christ est ignoré du plus grand nombre des chrétiens. Les meilleurs eux-mêmes, ceux qui veulent le savoir, l'aimer et s'attacher à lui le connaissent à peine. Ils ne l'ont jamais aperçu que dans je ne sais quel lointain crépuscule, les traits de sa physionomie adorable apparaissent trop vagues pour se fixer dans le regard et du regard aller se graver jusque dans l'intime .... N'est-ce pas là une chose très souvent extrêmement ...? Conçoit-on que nous ayons entre les mains le livre où se révèle celui qui est la voie, la vérité, la vie et que ce livre ne soit jamais ouvert par la plupart de ceux qui se disent ..... ?" "La prédication nous suffit, dit-on aussi. L'enseignement donné du haut de la chaire chrétienne par des hommes tout à la fois nourris de l’Évangile et avertis des besoins, du tempérament, du niveau intellectuel et spirituel de leurs auditeurs permet à ceux-ci d'entrer dans l'intimité de l'histoire évangélique beaucoup mieux que la lecture personnelle de l’Évangile, sans commentaires et sans annotations. La prédication sur l’Évangile vaut beaucoup mieux, nous dit-on, que la lecture de l’Évangile". Les docteurs les plus illustres et les pasteurs les plus attentifs de l’Église, répondons-nous, ne pensaient pas ainsi. Ils ont été unanimes à protester que leurs prédications, pourtant substantielles et tout imprégnées de moelle biblique étant insuffisantes à remplacer le verbe évangélique lui-même seraient encore plus rendues impuissantes par l'ignorance biblique de leurs lecteurs. La plupart des discours et des homélies des saints Pères présupposent dans l'auditoire groupé autour de la chaire un commerce familier avec ce livre des livres, lequel formait comme la base de toutes leurs leçons morales et dogmatiques. "Les évangiles, ne cessent-ils de répéter à tout instant, ont été écrits pour être lus et médités par chaque fidèle à son foyer, commentés ensuite, expertisés et expliqués dans les temples par les ministres de Dieu". Dans l’Église grecque, saint Cyril, évêque de Jérusalem, déclare : "Que l'on n'enseigne rien de ce qui tient au mystère de la foi sans les saintes écritures. Garde-toi de croire aveuglément même selon mes propres enseignements si tu ne trouves pas dans l’Écriture la preuve de ce que j'avance car la ferveur de notre foi ne peut dériver que d'elle et non pas de nos démonstrations". Saint Chrystome (?) s'écrie : "Oui, oui, c'est un devoir pour tout chrétien de lire assurément assidûment les livres sacrés. Il ne lui suffit point de ne pas ignorer ce qu'ils contiennent, il doit les méditer pour en recueillir la vertu secrète. À quoi vous servira-t-il d'entendre les explications que nous ne cessons de vous faire entendre d'une façon suivie si vous rendez nos efforts inutiles par votre négligence à connaître nos préalables.... au moyen d'une lecture assidue ces livres mêmes qui sont le sujet de nos .... ----------------------------- La lecture des évangiles - conférence 3, face 6 Faute de ce concours de votre part, notre travail n'est-il pas presque entièrement stérile ?" "Je vous exhorte sans cesse ......... et je ne me lasserai pas de vous exhorter à ne pas vous contenter de prêter attention aux paroles que vous entendez dans .... mais à vous appliquer assidûment dans vos maisons à la lecture des saintes écritures". Dans l’Église latine, écoutez, messieurs,ce dialogue entre saint Jérôme et saint Augustin. "Ne t’arrête point à les lire, écrit le premier au second, mais corrige-les par la lecture des saintes écritures" et saint Augustin lui répond : "J'ai appris à porter au seul livre canonique des saintes écritures le respect de croire fermement qu'ils n'ont failli en aucun point. Quant aux autres auteurs, de quelque sainteté et de quelque science qu'ils soient ornés, je les lis de telle sorte que je ne crois pas une chose vraie parce qu'ils l'ont dite, mais seulement s'ils me persuadent par les livres canoniques des saintes écritures, ou par des raisons plausibles appuyées sur la vérité". Écoutez encore ce fragment de lettre de saint Augustin à un jeune homme .... qu'il voudrait gagner à l'Esprit : "Je ne désire que ton salut presque autant que .... c'est pourquoi je ne puis assez t'exhorter à entreprendre avec courage sans retard l'étude ..... Voilà une étude solide, voila un livre qui ne sert pas à ... le moindre....des paroles d'homme. Il agit puissamment .... non des mots mais des réalités et s'il éprouve d'abord qu'il faut les remplir ensuite.. ...Attache-toi surtout aux écrits des apôtres, ils te conduiront à l'étude des prophètes sur lesquels ils s'appuient. Et si tu rencontres quelque difficulté ... bien éclaircir, écris-moi et je te répondrai". J'ai dit. Mesdames et messieurs, pour suivre avec fruit ces études diffusées chaque samedi à 11h40 à Radio-Luxembourg, nous vous demandons, mesdames et messieurs, de lire ou de relire le Nouveau Testament et spécialement les quatre évangiles et les épîtres de saint Paul ainsi que la Bible tout entière que nous tenons à votre disposition. Pour se procurer le texte de nos conférences et pour tous renseignements utiles relatifs à leur publication, s'adresser au poste de Radio-Luxembourg à Luxembourg, Grand-Duché. Le pasteur Durrleman continuera la prochaine fois, samedi prochain, son exposé sur la lecture de l’Évangile. Les personnes désireuses de nous poser des questions, de nous soumettre des objections, de recevoir les livres de notre bibliothèque circulante ou le catalogue de nos éditions peuvent en toute liberté s'adresser à la Maison de La Cause à Carrières-sous-Poissy : Maison de La Cause, Carrières-sous-Poissy, Seine-et-Oise |
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