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Titre : | La lecture des évangiles - Conférence 7, face 3 : Qu'ils soient écrits en bon français |
Interprète(s) : | Durrleman, Freddy |
Genre : | Diction : sermon, poème |
Fichier audio : | |
Photo(s) : | ![]() |
Support d'enregistrement : | Disque |
Format : | 30 cm aiguille (enregistrement électrique) |
Lieu d'enregistrement : | Paris, France |
Marque de fabrique, label : | Pyral zinc - Radio Luxembourg - Foniric 22 rue Bayard, Paris 8e |
Numéro de catalogue : | Copie 2722 |
Date de l'enregistrement : | 1938-09-24 |
Instruments : | Déclamation, diction, monologue |
État : | abon, variable |
Vitesse (tours/minute) : | 78 |
Matériel employé au transfert : | Garrard 401, SME 3012, pointe 2,0ET sur Stanton, Elberg MD12 : courbe US30, passe-bas 6kHz, Cedar X declick, decrackle, dehiss |
Date du transfert : | 24-07-2011 |
Commentaires : | Texte du contenu ci-joint. Dans une boîte 'Les Maisons de la Cause - Carrières sous Poissy (S&O)'. Freddy Durrleman (1881-1944) 81 faces de disques, chacune de 3 à 4 minutes trente. Cite les jansénistes ; cite la version de Lamennais, et Pierre Ariste, son biographe ; l'incomparable version d'Henri Lasserre |
Texte du contenu : | Freddy Durrleman
La lecture des évangiles - conférence 7, face 1 "Le Royaume des Cieux, dit Jésus, c'est comme un trésor enfoui dans un champ. L'homme qui le découvre en garde le secret et puis, tout débordant de joie, il s'empresse de vendre tout ce qu'il a et il fait l'acquisition de ce champ". Après avoir dit cette parabole, Jésus retourna chez ses compatriotes, il entra dans leur synagogue et ils se montrèrent fort étonnés qu'il y fît entendre ses enseignements. "D'où lui viendraient, murmuraient-ils, une telle sagesse et la puissance des miracles ? n'est-ce pas là le fils du charpentier ? sa mère ne s'appelle-t-elle pas Marie ? et Jacques et Joseph et Simon et Jude ne sont-ils pas ses frères ? ses sœurs n'habitent-elles pas toutes parmi nous ? où donc pourrait-il avoir puisé tout cela ?" Pour eux, il était un scandale. "Un prophète, leur dit Jésus à cette occasion, un prophète n'est sans honneur que dans sa patrie et dans sa maison". Aussi fit-il en cet endroit peu de miracles à cause de leur incrédulité. Quelles qualités le lecteur de langue française doit-il requérir de l'édition des évangiles qu'il veut utiliser couramment ? D'être en français, avons-nous répondu la dernière fois, que les Français lisent les évangiles en français. Qu'ils les lisent alors, mesdames et messieurs, en bon français. La seconde qualité en effet qu'ils doivent requérir de l'édition des évangiles qu'ils utilisent couramment, c'est d'être en bon français. Puisque nous ne lisons guère l’Évangile en grec, il n'est pas indifférent de le lire en français dans une traduction ou dans une autre. Les évangiles en mauvais français, voilà, messieurs, un obstacle très secondaire en apparence et très grave en réalité à la lecture des évangiles. Le savant et pieux Henri Lasserre le remarque à bon droit : "Au milieu des progrès ou changements croissants de notre langue depuis le XVIe siècle et à l'encontre des exigences littéraires qui en découlaient, il était malheureusement advenu que les traductions de l’Évangile s'étaient immobilisées dans une forme d'aspect bizarre et singulier qui leur enlevait pour la généralité des lecteurs tout mouvement, toute couleur, toute vie. Par un respect extrême de la lettre des textes saints, respect tout légitime et sacré dans son principe mais que nous croyons mal entendu dans son application, les divers traducteurs qui se sont succédé semblent en effet avoir considéré comme un devoir de ne tenir aucun compte de l'idiome dans lequel on devait le lire. Ils se sont invariablement appliqués à décalquer avec la plus scrupuleuse minutie la tournure des mots, c'est-à-dire la matérialité extérieure des écrits qu'ils avaient à traduire. C'était avec des consonances françaises parler grec, latin ou hébreux dans notre pays. Quelle que fût la vaste science ou le talent des auteurs, il devait forcément résulter de cette méthode des traductions en style barbare. Qui ne le connaît, hélas ! et qui ne l'a déploré, ce style laborieux, contourné, surchargé d'incidences, ce style pénible et sans clarté au sein duquel l'attention bientôt rebutée, hélas ! épuise vainement ses forces à suivre l'idée et parfois même à chercher le sens devenu incompréhensible. Connaissez-vous, mesdames et messieurs, l'anecdote rapportée dans l'une de ses lettres par le célèbre théologien du XVIIe siècle Pierre Bayle ? "Plusieurs prêtres catholiques du diocèse de Reims étant un jour de passage à Sedan furent curieux d'entendre prêcher le pasteur Jurieux qui devait prononcer ce jour-là... ----------------------------- La lecture des évangiles - conférence 7, face 2 Connaissez-vous, mesdames et messieurs, l'anecdote rapportée dans l'une de ses lettres par le célèbre théologien du XVIIe siècle Pierre Bayle ? "Plusieurs prêtres catholiques du diocèse de Reims étant un jour de passage à Sedan furent curieux d'entendre prêcher le pasteur Jurieux qui devait prononcer ce jour-là un discours de consécration. Ils furent fort satisfaits, constate Bayle, de sa science et de son langage en général mais ils trouvèrent dans son sermon des expressions insupportables comme "offrir les bourreaux de nos lèvres, guerroyer le bon combat, et cætera" dont monsieur Jurieux se servait souvent. Ils le trouvaient incompréhensible, voyant d'un côté qu'il avait un style fort pur et fort éloquent et de l'autre de si méchantes phrases". Ces méchantes phrases, mesdames et messieurs, vous l'avez compris, c'était évidemment les textes bibliques que Jurieux avait cités dans son sermon d'après la version traditionnelle alors en usage dans les églises réformées françaises or, si dès le milieu du XVIIe siècle maintes locutions fréquemment employées dans la traduction [Oughna.?] paraissaient vieillies, surannées ou obscures aux français de ce temps-là, combien plus est-il urgent au commencement du XXe siècle de prendre garde à la langue de nos traductions. Les milieux protestants s'en sont parfaitement rendu compte, mesdames et messieurs. La préface de leur version synodale reconnaît que le style dans la version traditionnelle était suranné, parfois incorrect, profondément différent du français que nous parlons, souvent même inintelligible pour nos contemporains, d'où cette excellente version dite synodale où le sens, d'une irréprochable exactitude, est rendu en un français si limpide, d'où aussi, messieurs, on l'a remarqué pour le Nouveau Testament, les traductions d'Oltramare et de Stapfer qui se prêtent admirablement à une lecture cursive. Elles sont moins recommandables à celui qui tient à posséder un texte aussi rapproché que possible de l'originale, surtout la seconde qui use d'une liberté excessive, mais quand il s'agit de suivre le mouvement général de la pensée, elles reçoivent de leur modernité même un cachet de saisissante actualité. Qu'on relise par exemple la seconde épître aux Corinthiens tout d'une haleine dans l'une ou l'autre de ces versions, il semble vraiment qu'elles sortent toutes chaudes, toutes vibrantes de la plume de Paul. Les milieux catholiques offrent également, messieurs, aux lecteurs français de bien captivantes traductions des évangiles en bon français de France. Qui ne connaît la version de Sacy ? Son auteur, Isaac-Louis Lemaistre, connu sous le nom de Sacy, était d'origine huguenote. Enlevé comme ses quatre frères à son père, enfermé à la Bastille comme hérétique, Isaac de Sacy, neveu par sa mère du grand Arnauld, entra dans les ordres et devint le directeur des religieuses et des solitaires de Port-Royal. Lorsque Port-Royal se décida à entreprendre la traduction du Nouveau Testament, il prit une part prépondérante à ce travail. Qui sait si ce ne fut point que le nom de Lemaistre trop huguenot risquait d'impressionner désagréablement les catholiques qu'Isaac Lemaistre adopte celui de Sacy ? Sacy n'est que le nom d'Isaac retourné, avec transposition du c et de l's pour faciliter la prononciation. La publication de ce Nouveau Testament fut accueillie avec joie partout. Ce fut, dit Sainte-Beuve, non seulement chez les personnes de piété mais dans le monde et auprès des dames un prodigieux succès. Dès 1667 il s'en débite cinq mille exemplaires dans l'espace de quelques mois. Il y en eut cinq éditions cette même année et quatre l'année suivante. En 1683 il s'en était vendu quarante mille neuf cents exemplaires? "Cette traduction a été imprimée en toutes manières", dit le docteur Mallet, éditeur des œuvres d'Arnauld. en bons caractères pour les... ------------------------- La lecture des évangiles - conférence 7, face 3 ... pour faciliter la prononciation. La publication de ce Nouveau Testament fut accueillie avec joie partout. Ce fut, dit Sainte-Beuve, non seulement chez les personnes de piété mais dans le monde et auprès des dames un prodigieux succès. Dès 1667 il s'en débite cinq mille exemplaires dans l'espace de quelques mois. Il y en eut cinq éditions cette même année et quatre l'année suivante. En 1683 il s'en était vendu quarante mille neuf cents exemplaires? "Cette traduction a été imprimée en toutes manières, dit le docteur Mallet, éditeur des œuvres d'Arnauld, en bons caractères pour les riches, en caractères communs pour les pauvres, avec des notes pour les savants, sans notes pour le simple peuple, en petit papier pour être porté plus facilement, en plus grand pour être gardé dans les bibliothèques, en français seulement pour ceux qui n'entendent que cette langue et avec le grec et le latin pour ceux qui sont capables de confronter les textes. Enfin je ne sais s'il n'y a aucune province, s'il n'y a aucune province du royaume où elle n'ait été imprimée pour être ainsi répandue partout. Les jansénistes envoyèrent de Paris un grand nombre de colporteurs chargés de la vendre au prix de revient et même, dans certaines circonstances, à des prix réduits et ils couvrirent la dépense par des dons volontaires. La version de Sacy fut pour la France un instrument d'évangélisation dont on calculerait difficilement la salutaire influence. La valeur littéraire de cette version est très grande. De Sacy se demandait même si sa traduction n'était pas trop littéraire. On a pu dire de son style : "Quelle bonne et ferme langue française ! celle que l'on savait parler à Port-Royal et qui indique la bonne santé de l'esprit". Voici, messieurs, une nouvelle version ou plutôt ancienne mais oubliée, de qui ? de Lamennais ! Publiée une première fois en 1846, monsieur Pierre Ariste, le biographe de Lamennais, nous rend aujourd'hui sa traduction originale d'après les manuscrits de Lamennais. C'est, nous dit-on, une œuvre de longue haleine, d'intime et profonde méditation et qui s'espace sur les deux vies de Lamennais : avant/après sa séparation d'avec l’Église. Infidèle à l’Église, révolté contre elle, Lamennais est resté fidèle à l'amour du Christ. L’Église, généreusement, en tient compte à son fils rebelle en donnant aujourd'hui son imprimatur à la version et aux réflexions de Lamennais. Comparant sa traduction à celle de Sacy on a pu écrire : "En suivant les deux textes, nous verrons qu'à chaque ligne il y a dans les expressions, le choix des mots, leur sonoritén l'appel qu'ils font aux sens ou à l'esprit une différence, une nuance : Chez Monsieur de Sacy, Jean-Baptiste en son cachot est lié, Lamennais l'a vu chargé de fers et l'on entend le bruit des chaînes remuées. Ainsi de tout : dans l'esprit, dans le sens, tout est identiquement pareil ; dans la forme, tout est différent. Ainsi, dans l'interprétation d'une divine musique, nous sentons aux différences des touchers, aux valeurs des sons, la disposition, l'âme même des exécutants. Il y a cent ans, c'était en 1829, que Lamennais préparait cette traduction des évangiles. Mais surtout, mesdames et messieurs, les milieux catholiques offrent aux lecteurs français l'incomparable version d'Henri Lasserre, de beaucoup l'une des plus françaises des versions françaises des évangiles. Vingt-six éditions parurent en la seule année 1887, cent mille exemplaires furent vendus, émouvante attestation de l'accueil que peut faire le peuple français à l’Évangile lu en français. Pourquoi faut-il ajouter qu'une inconcevable et impardonnable cabale obligea l'auteur, douze mois après la parution de la première édition, à retirer de la circulation une traduction d'une si grande conscience scientifique et d'un génie si éminemment français. Définissant sa méthode, Henri Lasserre avait écrit : "Nous nous sommes appliqué non plus à faire un décalque servile de la langue morte dans la langue vivante mais à mettre en lumière dans la meilleure forme française qu'il nous ait été possible d'écrire la nuance de l'original. Autant pour comprendre les évangélistes nous nous... -------------------------- La lecture des évangiles - conférence 7, face 4 ... émouvante attestation de l'accueil que peut faire le peuple français à l’Évangile lu en français. Pourquoi faut-il ajouter qu'une inconcevable et impardonnable cabale obligea l'auteur, douze mois après la parution de la première édition, à retirer de la circulation une traduction d'une si grande conscience scientifique et d'un génie si éminemment français. Définissant sa méthode, Henri Lasserre avait écrit : "Nous nous sommes appliqué non plus à faire un décalque servile de la langue morte dans la langue vivante mais à mettre en lumière dans la meilleure forme française qu'il nous ait été possible d'écrire la nuance de l'original. Autant pour comprendre les évangélistes nous nous sommes constamment et uniquement inspiré du génie de la langue qu'ils parlaient, autant pour les traduire nous nous sommes constamment et uniquement inspiré du génie de la langue que nous avions à parler". En faisant ainsi, messieurs, Lasserre se révélait un authentique disciple du grand vulgarisateur de la Bible en latin, de l'auteur de la Vulgate, de saint Jérôme qui, commentant un jour le conseil donné par Horace : "Si vous voulez être un vrai interprète, gardez-vous tout d'abord de vous appliquer à rendre invariablement le mot par le mot" ajoutait : "Ce que certains esprits appellent fidélité, les hommes vraiment érudits le nomment servitude. Toute langue a son génie propre et pour ainsi dire domestique. Lorsqu'il est manifeste qu'en traduisant chaque mot j'obtiendrais dans ma langue quelque chose d'inadmissible, qui donc pourrait, je le demande, m'accuser de mentir à mon devoir d'interprète si, pour rendre le vrai sens, je modifie l'ordre des mots, la forme de la phrase et l'expression. Une traduction mot pour mot cache le sens qu'elle prétend faire passer d'une langue dans un autre. Poursuive qui voudra les syllabes et les lettres, attachez-vous au sens. Un jour ne me suffirait pas si je voulais citer le témoignage de tous ceux qui, dans leur traduction, ont uniquement cherché le sens et la vérité. Je me borne pour le moment à vous nommer le saint confesseur Hilaire, traduisant du grec en latin des homélies sur Job et plusieurs traités sur les psaumes, il se garde bien de se coller à la lettre qui dort et ne se donne pas de perpétuelles contorsions par une servile obéissance à l'empire des mots. Il s'est emparé du sens en vainqueur et il l'a transporté dans sa langue. Messieurs, les évangiles en bon français, vous le voyez, mesdames et messieurs, protestants et catholiques, ils ne vous mentent pas. Il est vrai que nous ne pouvons pas indiquer une traduction française qui ferait aujourd'hui l'unanimité de nos différents milieux. Le rêve d'avoir en France une traduction réunissant les suffrages de tous n'est pas prêt d'aboutir pas plus aujourd'hui qu'il n'aboutit il y a plus de soixante-dix ans lorsqu'en 1863 ou 1864, dans les salons de monsieur Frédéric Monnier, maître des requêtes au Conseil d’État, sous l'ardente impulsion de monsieur Émile Pétavel, alors pasteur à Londres, s'ébauchait dans une heure d'enthousiasme l'éphémère et merveilleux projet de faire une version française de la Bible qui fût l’œuvre commune de tous les cultes. Ce projet réunit Oppert du Collège de France, Egger (?) et Aikov (?) de l'Institut, Fuchs de l’École des Mines, Le pasteur et professeur Albert Matter, quelques prêtres d'esprit large comme le curé de Saint-Louis Dantin, une élite d'hommes savants de toutes les confessions. Une unique et solennelle assemblée fut convoquée au grand amphithéâtre de la Sorbonne. Le pasteur d'Alep, en bon hébraïsant, l'ouvrit pas cette salutation biblique dans la langue même de la Bible : " ......el haharim. Je lève les yeux vers les montagnes. D'où me viendra le secours ? Mon secours vient de l’Éternel qui a fait les cieux et la terre". Ingénieux moyen de faire intervenir sans qu'il y parût... ---------------------------- La lecture des évangiles - conférence 7, face 5 Une unique et solennelle assemblée fut convoquée au grand amphithéâtre de la Sorbonne. Le pasteur d'Alep, en bon hébraïsant, l'ouvrit pas cette salutation biblique dans la langue même de la Bible : " ......el haharim. Je lève les yeux vers les montagnes. D'où me viendra le secours ? Mon secours vient de l’Éternel qui a fait les cieux et la terre". Ingénieux moyen de faire intervenir sans qu'il y parût dans cette assemblée bien mélangée un mot d'invocation, de prière qu'appelait si justement la gravité très particulière de son objet. Mais ce noble et chimérique dessein accueilli avec plus de bonne volonté que de confiance, désavoué bientôt par la partie catholique du comité, ne fut en somme que l'épisode d'un jour. Mais peu importe après tout, mesdames et messieurs, la multiplicité des versions. Des versions en bon français des évangiles constituent aussi une richesse. La diversité est aussi une cause de félicité et une manière de rendre hommage à la vérité. Grâce à elle, les Français d'aujourd'hui peuvent, s'ils le veulent, lire les évangiles en bon français. J'ai dit. La prochaine conférence de La Cause à Radio-Luxembourg aura lieu samedi prochain 1er octobre à 11h40. Monsieur le pasteur Freddy Durrleman continuera son exposé sur la lecture des évangiles : Que les évangiles soient présentés à la française. Pour suivre avec fruit ces études diffusées chaque samedi à 11h40 à Radio-Luxembourg, nous vous demandons, mesdames et messieurs, de lire ou de relire le Nouveau Testament et spécialement les quatre évangiles et les épîtres de saint Paul ainsi que la Bible tout entière que nous tenons à votre disposition. Pour se procurer le texte de nos conférences et pour tous renseignements relatifs à leur publication, s'adresser au poste de Radio-Luxembourg à Luxembourg, Grand-Duché. Les personnes désireuses de nous poser des questions, de nous soumettre des objections, de recevoir les livres de notre bibliothèque circulante, le catalogue de nos éditions ou le programme de nos cours par correspondance peuvent en toute liberté s'adresser à la Maison de La Cause à Carrières-sous-Poissy : Maison de La Cause, Carrières-sous-Poissy, Seine-et-Oise |
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