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Titre :Quand il vous regarde
Compositeur(s) et-ou auteur(s) :Dumont, Ernest ; Bénech, Ferdinand-Louis
Interprète(s) :Liébel, Emma
Genre :Café-concert
Fichier audio :
Photo(s) :Photo
Support d'enregistrement :Disque
Format :35 cm saphir sans étiquette, (enregistrement acoustique)
Lieu d'enregistrement :Paris, France
Marque de fabrique, label :Pathé
Numéro de double-face :4579
Numéro de catalogue :1380
Numéro de matrice :99053RA
Instruments :orchestre acc.
État :Exc++
Vitesse (tours/minute) :95,5
Matériel employé au transfert :Garrard 401, SME 3012, pointe 2,8ET sur Stanton, Elberg MD12 : courbe US30, passe-bas 4kHz, Cedar X declick, decrackle, dehiss
Date du transfert :21-10-2011
Commentaires :Texte du contenu ci-joint.
Texte du contenu :Quand il vous regarde

Paroles et musique : Ernest Dumont, Ferdinand-Louis Bénech - Éditeur : Bénech - Paris (1913)


Quand la première fois, je l’ai rencontré
Ce fut dans une fête printanière
Et je m’en souviens, quand il m’a r’gardée
Malgré moi, j’baissais les paupières
Ses yeux m’faisaient peur et quand s’approchant
Il me dit : Soyez mon amie
Moi, j’ai répondu, le cœur tout tremblant :
Être à vous, jamais de la vie !
Mais sous ses grands yeux qui brillaient de fièvre
Vers lui, malgré moi, j’ai tendu mes lèvres

{Refrain :}
Quand il vous regarde avec ses yeux noirs
C’est du feu qui dans l’cœur vous pénètre
Désormais, c’est lui seul votre maître…
On n’ s’appartient plus
On est comme perdue
C’est encore un bonheur infini
De souffrir près d’ lui…

Pourtant, croire en lui, j’savais qu’c’était fou
Mais ses yeux me disaient : Je t’aime !
Et c’était si bon et c’était si doux
Malgré tout j’espérais quand même
Aussi quand un jour je l’ai rencontré
Passant au bras d’une autre femme
J’ai tellement souffert que je lui ai crié :
Tu n’me r’verras plus, c’est infâme !
Mais il a fallu que l’soir même je revienne
M’traîner à ses g’noux pour qu’il me reprenne

{Refrain :}
Quand il me regarde avec ses yeux noirs
C'est du feu qui dans l'cœur vous pénètre
Désormais, c'est lui seul votre maître
On n' s'appartient plus
On est comme perdue
C'est encore un bonheur infini
De souffrir pour lui



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