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Titre : | Voulez-vous que j'vous l'fasse |
Interprète(s) : | Dufleuve [Edmond Bouchaud] |
Genre : | Café-concert : comique troupier |
Fichier audio : | |
Photo(s) : | ![]() |
Support d'enregistrement : | Disque |
Format : | 35 cm saphir sans étiquette, (enregistrement acoustique) |
Lieu d'enregistrement : | Paris, France |
Marque de fabrique, label : | Pathé |
Numéro de double-face : | 2520 |
Numéro de catalogue : | 1676 |
Numéro de matrice : | 57893GR |
Instruments : | orchestre acc. |
État : | Exc |
Vitesse (tours/minute) : | 88 |
Matériel employé au transfert : | Garrard 401, SME 3012, pointe 3,3ET sur Stanton, Elberg MD12 : courbe flat, passe-bas 4kHz, Cedar X declick, decrackle, dehiss |
Date du transfert : | 21-10-2011 |
Commentaires : | Texte du contenu ci-joint. |
Texte du contenu : | Voulez-vous que j'vous l'fasse
Éditeur : Marcel Labbé - Paris (1909) Je suis un p'tit soldat sans malice Si je n’ai pas beaucoup d’esprit J’aime bien rendre des services Soit à quiconque soit à autrui Tenez, l'autre jour, la cantinière Cherchait des puces à son gros chat En criant : Cette bête m'exaspère J’ suis pleine de puces du haut en bas J’ dis : Si ça vous ennuie, mon loup De dépucer votre matou… {Refrain :} Voulez-vous que j’ vous l’ fasse J’ crois qu’ ça vous f’ra du bien J’y mettrai toute ma grâce Et ça n’ vous coûtera rien Ma p'tite cousine est boulangère Elle est veuve depuis plus d'un an Aussi, je trouve qu'elle exagère Car elle pense toujours à l'absent Elle me disait hier encore : Mon mari c'était un amour Pour moi, du soir jusqu’à l’aurore Il mettait des p’tits pains au four J’ réponds : Faut pas vous en priver Si y a qu’ ça pour vous contenter : {au Refrain} Ma bonne amie qu'est cuisinière Avant de faire rôtir un dindon Devait lui fourrer par derrière Des grosses truffes et des gros marrons Mais comme c’est une fille très candide Au moment d’ faire l’opération Elle n’osait tant elle est timide Lui rentrer tout ça dans l’ croupion Et comme je la voyais rougir J’ dis : Si ça peut vous faire plaisir… {au Refrain} L'année dernière, la commandante Se trouvait être en mal d’enfant Sa position intéressante Rendait son ventre proéminent Une belle fille vint lui rendre visite En voyant son ventre rebondir Lui dit : Bravo, j’ vous félicite Ma chère, ça vous va à ravir Vous avez raison que j’ lui dis Ça vous irait très bien aussi {au Refrain} À la grande foire au pain d’épices J’ai gagné un gros caramel Et je l’ suçais avec délice Comme f’rait le commun des mortels Voyant qu’ j’en avais plein la bouche Une petite femme me dit comme ça : Vous savez, mon p’tit chauffe-la-couche J’ vous défends bien de m' dire papa Puis elle ajoute : Joli soldat Si vous aimez tant c’ machin-là… {au Refrain} |
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