Paroles : Ferdinand-Louis Bénech - Musique : Henri Christiné - Éditeur :
Bénech-Christiné (1908)
{Parlé :}
Hé, attention, là !
J' vais vous dire une chansonnette
Elle n'a ni queue ni tête
Le refrain n' signifie rien
Mais elle est tout d' même très bien
Mets des bi, mets des bi, mets des bigoudis
Pour que tes ch'veux frisent
Mets des bi, mets des bi, mets des bigoudis
Ton ventre ne fera pas d' plis
{Parlé :}
Ah, ah, pas mal, ça !
Au deuxième
L' p'tits chiens de nos sergents de ville
Lèvent la patte sans s' faire de bile
Leurs maîtres sont intelligents
Mais n' peuvent pas en faire autant
{au Refrain}
{Parlé :}
Troisième
Ma petite qu'est une plisseuse
Travaille chez une blanchisseuse
Elle plisse pour gagner sa vie
Moi, j' plisse quand j'en ai envie
{au Refrain}
{Parlé :}
Au quatrième… aaah, là, j' ris pas
Je me pèse toutes les semaines
Je fais cent vingt livres à peine
Ma femme fait cent livres et demie
J' la pèse tous les mercredis
{au Refrain}
{Parlé :}
Ah, attention à celui-là
Oh, celui-là alors, il est épatant
C'est pour les p'tites jeunes filles
Ah, faut pas qu'elles entendent ça parce que c'est pas propre
Ah, naturellement, ça fait rigoler la grosse dame qu'est là, assise près
du poêle, ha
En hiver, chez ma maîtresse
Y a des poêles dans toutes les pièces
Elle est si frileuse qu'elle a
Même des poils sur l'estomac
{au Refrain}
{Parlé :}
Mais est-ce bien idiot de chanter des machins comme ça
Mais ça amuse, quoi !
Ça vaut mieux que d'aller au café, 'pas, hein ?
Puis au moins on se ne saoule pas avec ça
Tenez, j'ai pas l'air moi comme ça
Allez, je vais vous chanter un petit couplet américain
Écoutez bien… Un, deux, trois
Good morning harry cower
Liverpool and Manchester
Old England lavatory
Bonsoir, m'ssieurs-dames, j'ai fini
{au Refrain}