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Titre : | Versez-moi du Bourgogne |
Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Petit, Albert ; Kuhn, Édouard |
Interprète(s) : | Dhaller ; Weber, Henri |
Fichier audio : | |
Photo(s) : | ![]() |
Support d'enregistrement : | Disque |
Format : | 30 cm aiguille (enregistrement acoustique) |
Lieu d'enregistrement : | Paris, France |
Marque de fabrique, label : | Gramophone |
Numéro de catalogue : | 0232110 |
Numéro de matrice : | 01071-v |
Date de l'enregistrement : | 1909-06-08 |
Instruments : | orchestre acc. |
État : | Exc+ |
Vitesse (tours/minute) : | 80,4 |
Matériel employé au transfert : | Garrard 401, SME 3012, pointe 2,0ET sur Stanton, Elberg MD12 : courbe flat passe-bas 4kHz, Cedar X declick, decrackle, dehiss |
Date du transfert : | 21-12-2011 |
Commentaires : | Texte du contenu ci-joint. M. Dhaller est un pseudonyme de Henri Weber |
Texte du contenu : | Versez-moi du Bourgogne
Création : Farville au Théâtre des Ambassadeurs, Vialla à l'Eldorado (1882) - reprises : Dhaller, Fred Gouin (Farville, Vialla et Gouin sous le titre Verse-moi du bourgogne) Paroles : Édouard Kuhn - Musique : Albert Petit - Éditeur : A. Hélaine / Éveillard et Jacquot - Paris (1882) Lorsque la côte est colorée Par les reflets d'un doux soleil Et qu'une grappe bien dorée Me montre son museau vermeil Je sens se réjouir mon âme Et je bénis le Créateur Qui, tout en nous donnant la femme Créa ce fruit réparateur {Refrain :} Allons, garçon, morbleu ! Verse-moi du bourgogne Car s'il rougit la trogne Il met le cœur en feu, morbleu ! Oui, verse, verse encore De ce vin qui nous berce Dans les beaux rêves d'or Garçon, oui, verse encore ! La femme a des attraits que j'aime Certes, je ne le cache pas J'admire toujours et quand même Ce sexe aux séduisants appas Mais grâce au nectar de la table Je vois tout mon passé fleuri Près d'elle alors je suis aimable Et ma tête est pleine d'esprit {au Refrain} Ce n'est pas qu'au siècle où nous sommes Que la femme ainsi que le vin Furent chantés par tous les hommes On les chanta même en latin Moi, tant que je serai sur terre Je bénirai cette liqueur Aussi je veux, prenant mon verre Que nous répétions tous en chœur : {au Refrain} |
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