Recherche tout champ | Recherche avancée | Nouvelle recherche | Page d'accueil |
Titre : | Les Cloches de Corneville ; je regardais en l'air |
Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Planquette, Robert ; Clairville [Louis-François-Marie Nicolaïe] ; Gabet, Charles |
Interprète(s) : | Martin |
Genre : | Opéra-comique |
Fichier audio : | |
Photo(s) : | ![]() |
Support d'enregistrement : | Cylindre |
Format : | Standard (enregistrement acoustique) |
Lieu d'enregistrement : | Paris, France |
Marque de fabrique, label : | [Marque ou fabricant non identifié, cylindre en boîte bleue] |
Date de l'enregistrement : | 1898-1900 |
Couleur de la pâte : | marron |
État : | Exc |
Vitesse (tours/minute) : | 126 |
Matériel employé au transfert : | Archéophone, Edison sur Ortofon, Elberg MD12 : courbe flat, passe-bas 4kHz, Cedar X declick, decrackle, dehiss |
Date du transfert : | 11-03-2012 |
Commentaires : | Texte du contenu ci-joint. F.M.L. Manufacture française de cylindres pour phonographes. Annonce : 'chanté par Monsieur Martin de l'opéra' |
Texte du contenu : | Les cloches de Corneville ; je regardais en l'air
Création : Simon-Max (1877 aux Folies-Dramatiques) - Paroles : Clairville, Charles Gabet - Musique : Robert Planquette Je regardais en l’air Une jeunesse dégringole Et vite, au fond d’la mer J’fais la même cabriole Nous barbotions tous deux Tout à coup, par les ch’veux J’la saisis quand elle passe Voyez mon embarras Je nageais d’un seul bras Quand Germaine m’enlace Plus je fais le plongeon Plus elle se cramponne Et moi, dans son jupon, dans son jupon Voilà que j’m’enjuponne Sans vouloir la lâcher De rocher en rocher Je suis le flot qui me soulève Quand fort heureusement Mais très brutalement Le flot nous jette sur la grève Alors, quoiqu’éreinté Vite, vite, je la délace Et vous auriez été Bien heureux à ma place Son sein se soulevait Que dire davantage Bref, Germaine devait La vie à mon courage Oui, Germaine enfin devait La vie à mon courage ! |
Recherche tout champ | Recherche avancée | Nouvelle recherche | Page d'accueil |