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Titre : | Les divorcées |
Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Meynard, Gaston ; Chezell, Fernand |
Interprète(s) : | Dulac, Odette |
Genre : | Café-concert |
Fichier audio : | |
Support d'enregistrement : | Cylindre |
Format : | Inter (enregistrement acoustique) |
Lieu d'enregistrement : | Paris, France |
Marque de fabrique, label : | Pathé |
Numéro de catalogue : | 934 |
Numéro de matrice : | 17431P |
Date de l'enregistrement : | 1905-04-xx |
Couleur de la pâte : | noir moulé |
État : | bon |
Vitesse (tours/minute) : | 167 |
Matériel employé au transfert : | Archéophone |
Date du transfert : | 06-06-2000 |
Commentaires : | Texte du contenu ci-joint. |
Texte du contenu : | Les divorcées
Paroles : Fernand Chezell, musique : Gaston Meynard - Éditeur : G. Ondet, Paris [1896] Odette Dulac : Les hommes sont étonnants, vraiment Ils n'épouseraient pas, certainement Une jeune fille ayant un amant Mais ils prennent pour fiancées Les divorcées Ce sont des femmes pleines d'attentions Oh ! remplies de bonnes intentions Auxquelles on donne l'absolution Bien que par d'autres confessées Les divorcées Elles ne font pas de façons Pas besoin d' leur donner de l'çons Elles sont tout d' suite à l'unisson Parfois elles devancent vos pensées Les divorcées On ne chante pas vainement Le cantique toujours charmant Elles vous font un accompagnement De cadences très nuancées Les divorcées On remercie l'ancien mari De ce qu'il vous mit à l'abri Du premier choc, du premier cri Ce sont des portes enfoncées Les divorcées Mais pour un amateur enfin Leur baiser a plus de parfum Comme un bouquet de lys défunt Ou de roses un peu fanées Les divorcées ---------- Maurice Dumas : Les hommes sont étonnants, vraiment Ils n'épouseraient pas, certainement Une jeune fille ayant eu un amant Mais ils prennent pour fiancées Les divorcées Ce sont des femmes pleines d'attentions Remplies de bonnes intentions Auxquelles on donne l'absolution Bien que par d'autres confessées Les divorcées Ce n' sont plus les maigres enfants Qu'un reste de pudeur défend Et qui poussent des cris d' faon Même avant d'être délacées Les divorcées Avec elles, tout baiser l’écœure (?) Et lorsqu'enfin l'amour vainqueur Met sa flèche en leur petit cœur Elles ne bougent plus, elles sont fixées Les divorcées Elles ne font pas d' façons Pas besoin d' leur donner d' leçons Elles sont toujours à l'unisson Parfois elles devancent vos pensées Les divorcées On n' chante pas vain'ment Le cantique toujours charmant Elles vous font un accompagnement De cadences très nuancées Les divorcées Elles sentent, les yeux au plafond En elles comme un fruit qui fond Et leur amour est très profond Car elles sont très avancées Les divorcées On remercie l'ancien mari De c' qu'il vous a mis à l'abri Du premier choc, du premier cri Oh ! maman ! Ce sont des portes enfoncées Les divorcées Et pour un amateur enfin Leur baiser a plus de parfum Comme un bouquet de lys défunt Ou de roses un peu froissées Les divorcées On n' peut pas en savoir très long Pas besoin d'être un apollon Inutile d'être un étalon Elles veulent des caresses raffinées Les divorcées Puis c'est un moyen très adroit De n' pas ach'ter, selon moi Chat en poche puisque l'on voit Comment les choses se sont passées Les divorcées Mais, entre nous, est-il besoin D'être bien fixé sur ce point ? Toutes les femmes sont plus ou moins Légal'ment ou non, embrassées Les divorcées |
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