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Titre : | Un soir dans la rue | ||||||||||
Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Gavel, Eugène ; Telly, Vincent ; Bénech, Ferdinand-Louis | ||||||||||
Interprète(s) : | Marcelly [Marcel-Jules Turmel] | ||||||||||
Fichier audio : | |||||||||||
Photo(s) : |
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Support d'enregistrement : | Disque | ||||||||||
Format : | 29 cm saphir sans étiquette, (enregistrement acoustique) | ||||||||||
Lieu d'enregistrement : | Paris, France | ||||||||||
Marque de fabrique, label : | Pathé | ||||||||||
Numéro de catalogue : | 3322 | ||||||||||
Numéro de matrice : | 60738-RA | ||||||||||
Date de l'enregistrement : | 1910 | ||||||||||
Instruments : | orchestre acc. | ||||||||||
État : | Exc++ | ||||||||||
Vitesse (tours/minute) : | 87,5 | ||||||||||
Matériel employé au transfert : | Garrard 401, SME 3012, pointe 2,8ET sur Stanton, Elberg MD12 : courbe flat, passe-bas 4k, Cedar X declick, decrackle, dehiss | ||||||||||
Date du transfert : | 15-10-2012 | ||||||||||
Commentaires : | Texte du contenu ci-joint. intéressant : pochette "amateurs de jolies valses, demandez les partitions et les disques des 2 dernières valses les plus en vogue : Ne parlons plus d'amour, de P. Arezzo, chantée par Marcelly, éditions Marcel Labbé, 20 rue du Croissant, Paris ; Divine extase, de Pompilo, chantée par Junka, éditions Marcel Labbé [même adresse], voir photo. Pochette 'Le disque abonnement - 13, rue de la Darse, 13, Marseille - vente & location de disques'. Sur le disque : Propriété de la société du 'Disque échange' - ce disque ne peut être cédé ni prêté – n°306'. Parmi un ensemble de disques expédiés vers 1910 dans le cadre d'un abonnement | ||||||||||
Texte du contenu : | Un soir dans la rue
Paroles : V. Telly, L. Bénech - Musique : Eugène Gavel - copyright : Propriété de L. Bénech, auteur, 8 passage de l’industrie, Paris (1910) Comme nous demeurions à la même adresse On se rencontrait dans la rue souvent Un soir de printemps, tu d’vins ma maîtresse Le cœur parle vite quand on a vingt ans Oh ! qui m’aurait dit, disais-tu, ravie Qu’on vivrait ensemble, comme ça tous les deux Moi, qui m’aurait dit qu’t’aurais pris ma vie Par un seul regard de tes grands yeux bleus Un soir dans la rue Quand je t’ai connue Dans un baiser, je t’ai donné mon cœur Mais en échange, tu m’as donné l’bonheur Oui, toute ma vie Tu s’ras ma chérie Car dans le cœur, ô ma mimi, toujours Il n’est de place que pour un seul amour Ce fut le bonheur, ce fut la misère On ne déjeunait parfois que d’bécots Mais les amoureux comme des fous préfèrent Un plat de caresses aux meilleurs fricots Au soleil d’amour succède l’orage Un jour, tu m’as dit : Ah ! j’en ai assez ! Comme deux enfants qui ne sont pas sages Lassés du bonheur, nous l’avons brisé ! Un soir dans la rue Quand je t’ai revue Il nous sembla qu’aussitôt dans nos cœurs Refleurissait pour nous l’ancien bonheur Vois-tu, ma jolie S’quitter, c’est folie Car dans la vie, ô ma mimi, crois-moi On ne peut aimer réellement qu’une fois ! |
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