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Titre : | C'est une ingénue |
Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Gambardella, Salvatore ; Marinier, Paul |
Interprète(s) : | Thibaud, Anna ; Maréchal, André |
Genre : | Café-concert |
Fichier audio : | |
Photo(s) : | ![]() |
Support d'enregistrement : | Disque |
Format : | 29 cm saphir sans étiquette, (enregistrement acoustique) |
Lieu d'enregistrement : | Paris, France |
Marque de fabrique, label : | Pathé |
Numéro de catalogue : | 1901 |
Numéro de matrice : | 49986-GR |
Inscriptions complémentaires : | 18-3 |
Date de l'enregistrement : | 1904-08-xx |
Instruments : | piano acc. |
État : | Exc++ |
Vitesse (tours/minute) : | 96,1 |
Matériel employé au transfert : | Garrard 401, SME 3012, pointe 4,0ET sur Stanton, Elberg MD12 : courbe flat, passe-bas 3k, Cedar X declick, decrackle, dehiss |
Date du transfert : | 22-10-2012 |
Commentaires : | Texte du contenu ci-joint. La partition ajoute : Sur les motifs de 'A Sciantosa' |
Texte du contenu : | C'est une ingénue
Création : Mayol (1905 à la Scala) - Paroles : Paul Marinier - Musique : Salvatore Gambardella - Éditeur : G. Ricordi, Paris Version Mayol : Dites-moi, mademoiselle Où courez-vous si matin avec entrain ? Je vais où l' devoir m'appelle Laissez-moi, laissez-moi passer mon ch'min Vous avez l'air c’est facile À d'viner, d'un p'tit trottin, trottin charmant Et vous l'air d'un imbécile Ça s' devine, ça s' devine aussi facil'ment {Refrain :} C'est une ingénue Qui vient d' chez sa maman Elle trottine gentiment Le long de la rue C'est un vieil abruti Chétif et rabougri Qui la suit Je ne suis pas un bélître Et j'habite au parc Monceau, quartier chouetto Ah, c'est donc un parc aux huîtres J'ignorais ce détail plutôt rigolo Mon père descend, que vous en semble Des croisades ; ma mère remonte à Henri II N' doivent pas être souvent ensemble L'un descend, l'autre remonte, c'est vraiment fâcheux {au Refrain} Vous d'vez avoir, ô ma reine Votre innocence Croyez-moi, cela se voit Oui mais d' peur qu'on n' me la prenne Je n' la porte, je n' la porte jamais sur moi J' veux vous offrir, ô ma belle Un p'tit log'ment art nouveau coquet et chaud Y a pas d' danger qu' j'y gèle Avec vous, j' suis bien sûre d'avoir un fourneau {Refrain :} Et notre ingénue S'en va d' son pas égal Où ça, j' m'en fous pas mal Le long de la rue Et soufflant comme un phoque Le vieux devient loufoque Et toc toc Version Maréchal et Anna Thibaud : - Dites-moi, mademoiselle Où courez-vous si matin avec entrain ? - Je vais où l' devoir m'appelle Laissez-moi, laissez-moi passer mon chemin - Vous avez l'air, c’est facile À deviner, d'un trottin, trottin charmant - Et vous l'air d'un imbécile Ça s' devine, ça s' devine aussi facil'ment {Refrain, duo :} C'est une ingénue Qui trottine dans la rue C'est un vieil abruti Qui la suit - Vous d'vez avoir, ma sirène Votre innocence, cela se voit, croyez-moi - Oui mais de peur qu'on m' la prenne Je n' la porte, je n' la porte jamais sur moi - Je veux vous offrir, ma belle Un p'tit logis art nouveau coquet et chaud - Y a pas d' danger que j'y gèle Avec vous, j' suis bien sûre d'avoir un fourneau {au Refrain, duo} - Soyez ma Laure apparue (*) Comme Pétrarque, je prendrai mon luth joyeux - Prenez d' l' huile de foie d' morue J' vous assure que pour vous ça vaudra bien mieux - Pitié, j' vous suis, ma chère Laure Depuis une grande heure, le cœur tout malheureux - Ça prouve une fois encore Que l'or ni la grandeur ne vous rendent heureux {au Refrain, duo} --------------------------------- (*) Laure de Sade (1310-1348), fille d’Ermessande de Réal et du chevalier Audibert de Noves, muse de Pétrarque et aïeule du Marquis de Sade |
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