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Titre : | Les contes d'Hoffmann ; légende de Kleinzach |
Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Offenbach, Jacques ; Barbier, Jules ; Carré, Michel |
Interprète(s) : | Marcelin, Émile |
Fichier audio : | |
Photo(s) : | ![]() |
Support d'enregistrement : | Disque |
Format : | 30 cm aiguille (enregistrement acoustique) |
Lieu d'enregistrement : | Paris, France |
Marque de fabrique, label : | Gramophone |
Numéro de double-face : | Y72 |
Numéro de catalogue : | 032395 |
Numéro de matrice : | CE64-1 |
Date de l'enregistrement : | 1921-10-18 |
Instruments : | orchestre acc. |
État : | Exc++ |
Vitesse (tours/minute) : | 77,3 |
Matériel employé au transfert : | Garrard 401, SME 3012, pointe 3,3ET sur Stanton, Elberg MD12 : courbe flat, passe-bas 4k, Cedar X declick, decrackle, dehiss |
Date du transfert : | 29-11-2012 |
Commentaires : | Texte du contenu ci-joint. Petite saturation à la dernière mesure avec la pointe 2.8. Pas avec la 3.3 |
Texte du contenu : | Les coontes d'Hoffmann
Légende de kleinzach Il était une fois à la cour d'Eisenach Un petit avorton qui se nommait Kleinzach Il était coiffé d'un colbac Et ses jambes, ses jambes faisaient clic clac Clic clac, clic clac, voilà, voilà Kleinzach {x2} Il avait une bosse en guise d'estomac Ses pieds ramifiés semblaient sortir d'un sac Son nez était noir de tabac Et sa tête, sa tête faisait cric crac Cric crac, cric crac, voilà, voilà Kleinzach {x2} Quant aux traits, aux traits de sa figure {x2} Ah, sa figure était charmante Je la vois belle, belle comme le jour où courant après elle Je quittai comme un fou la maison paternelle Et m'enfuis à travers les vallons et les bois Ses cheveux, ses cheveux en torsades sombres Sur son vol élégant jetaient leurs chaudes ombres Ses yeux, ses yeux enveloppés d'azur Promenaient autour d'elle un regard frais et pur Et comme notre char emportait sans secousse Nos cœurs et nos amours, sa voix vibrante et douce Aux cieux qui l'écoutaient jetait ce chant vainqueur {x2} Dont l'éternel écho résonne dans mon cœur Oh, bizarre cervelle, qui diable peins-tu là ? Kleinzach ? Je parle d'elle. Qui ? Non ! Personne ! Rien ! Mon esprit se troublait… Rien ! Et Kleinzach vaut mieux tout difforme qu'il est Quand il avait trop bu de genièvre ou de rack Il fallait voir flotter les deux pans de son frac, Comme des herbes dans un lac Et le monstre, le monstre faisait flic flac Flic flac, flic flac, voilà, voilà Kleinzach {x2} |
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