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Titre : | Marie… j'ai vu ! |
Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Gavel, Eugène ; Bénech, Ferdinand-Louis ; Telly, Vincent |
Interprète(s) : | Mansuelle, Eugène |
Fichier audio : | |
Photo(s) : | ![]() |
Support d'enregistrement : | Disque |
Format : | 35 cm saphir sans étiquette, (enregistrement acoustique) |
Lieu d'enregistrement : | Paris, France |
Marque de fabrique, label : | Pathé |
Numéro de double-face : | 3153 |
Numéro de catalogue : | 2655 |
Numéro de matrice : | 64053-RA+ |
Inscriptions complémentaires : | 22-2 |
Date de l'enregistrement : | 1910 |
Instruments : | orchestre acc. |
État : | Exc++ |
Vitesse (tours/minute) : | 88,6 |
Matériel employé au transfert : | Garrard 401, SME 3012, pointe 2,0ET sur Stanton, Elberg MD12 : courbe flat, passe-bas 4k, Cedar X declick, decrackle, dehiss |
Date du transfert : | 05-12-2012 |
Commentaires : | Texte du contenu ci-joint. |
Texte du contenu : | Marie... j'ai vu !
Création : Dréan (1910) - reprises : Medy, Vallez, Dullac, Pauley, Edward, Monrey, Prézac, Miller, Elvell, Mansuelle Paroles : Louis Bénech, Vincent Telly - Musique : Eugène Gavel - Éditeur : L. Bénech, Paris Marie, c'est notre cantinière Qu'a de beaux appas par devant Mais c' qu'elle a d' mieux, c'est par derrière Ça fait l'orgueil du régiment Pour les troupiers, c'est une vraie mère Elle leur z'y prête quéqu' fois d' l'argent Elle leur z'y prête même sans manière Autre chose de temps en temps Et quand elle passe, les soldats, les capos I' gueulent tous comme des veaux {Refrain :} "Marie !… j'ai vu ton nez tout rond Marie !… j'ai vu ton œil mignon Marie !… j'ai vu ton sein tout nu Marie !… j'ai vu ton… Quand chez nous, on reviendra (Mansuelle chante : tu reviendras) A toi toujours on pensera" À notr' colon, notr' cantinière Est venue se plaindre l'autre jour Son mari, quand il est colère Il prend ses fesses pour un tambour Elle lui a dit "J' peux plus m'asseoir(e)" L' colon y a dit comme saint Thomas "Je veux y voir avant d'y croire" Mais une fois qu'il a vu ça L' colon, tout ému de voir un si beau nu Comme nous il a chantu {au Refrain} Si jamais il venait la guerre Sans même prendre le temps d' s'habiller Elle partirait vers la frontière Entraînant tous les p'tits troupiers On la suivrait tous par derrière Et sa chemise comme drapeau Pour l'honneur de cette bannière On se ferait trouer la peau Et tout en chargeant l'ennemi reculant On chant'rait triomphants {dernier refrain :} "Marie !… j'ai vu ton nez tout rond Marie !… j'ai vu ton œil mignon Marie !… j'ai vu ton sein tout nu Marie !… j'ai vu ton… Comme jamais tu n' reculeras Jamais l'ennemi le verra" |
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