Création : Carmen Vildez (1905) - Paroles : Georges Millandy - Musique : Jean-André Balogh Boldi - Éditeur : L. Digoudé Diodet, Paris (1905)
{Refrain :}
Chante, Miarka
Tant cela nourrit la tendresse
Qu'importe si la détresse
Met des sanglots dans ta voix
Chante toujours
Et les baisers et les caresses
Sont faits pour plaire aux maîtresses
Qui le gardent loin de toi
Celui que j'aime
A lu sur ma lèvre blême
Mon fol émoi
Celui que j'aime
Sait que je souffre et quand même
Se rit de moi !
Allons ! cache ta peine
Reprends ton tambourin
Allons ! chante, bohémienne !
Chante, bohémienne
Ton gai refrain !
Ah, ah…
{Refrain :}
Chante, Miarka
Chante l'amour et la tendresse !
Qu'importe si la détresse
Met des sanglots dans ta voix !
Chante toujours
Et les baisers et les caresses !
Jusqu'au jour, ô ma pauvresse
Où la mort voudra de toi