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Titre : | Chanson des heures |
Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Privas, Xavier |
Interprète(s) : | Privas, Xavier |
Genre : | Café-concert |
Fichier audio : | |
Photo(s) : | ![]() |
Support d'enregistrement : | Disque |
Format : | 27 cm aiguille (enregistrement acoustique) |
Lieu d'enregistrement : | Paris, France |
Marque de fabrique, label : | APGA |
Numéro de catalogue : | 1421 |
Date de l'enregistrement : | 1906-12 |
Instruments : | orchestre acc. |
État : | Exc++, monté à la fin |
Vitesse (tours/minute) : | 88,2 |
Matériel employé au transfert : | Garrard 401, SME 3012, pointe 2,0ET sur Stanton, Elberg MD12 : courbe flat, passe-bas 2k, Cedar X declick, decrackle, dehiss |
Date du transfert : | 03-11-2013 |
Commentaires : | Texte du contenu ci-joint. |
Texte du contenu : | Chanson des heures
Création : Xavier Privas (1899 au Cabaret des Arts) - reprises : Maréchal, Mercadier, Dickson, Liénard, Ruol, Paul Payan, Fred Gouin, Odette Barancey, Georgetty, Gerbel, Marjal, etc... À qui sait aimer, les heures sont roses Car c'est le bonheur qu'elles font germer En l’Éden secret des amours écloses, Les heures sont roses, À qui sait aimer ! À qui sait rêver, les heures sont grises Car c'est le souci qu'elles font lever, Dans le cœur troublé par d'amères crises, Les heures sont grises, À qui sait rêver ! À qui sait souffrir, les heures sont noires Car c'est la douleur qu'elles font mûrir En l'âme blessée au choc des déboires, Les heures sont noires, À qui sait souffrir ! À qui sait mourir, les heures sont blanches Car c'est le repos qu'elles font fleurir, Aux cœurs détachés des vitales branches, Les heures sont blanches, À qui sait mourir ! |
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