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Titre :	Le caïd ; air du tambour-major : la diane - l'amour ce dieu profane
Compositeur(s) et-ou auteur(s) :	Ambroise Thomas ; Thomas Sauvage
Interprète(s) :	René-Antoine Fournets
Genre :	Opéra bouffe
Fichier audio :
Photo(s) :
Support d'enregistrement :	Disque
Format :	17 cm aiguille (enregistrement acoustique)
Lieu d'enregistrement :	Paris, France
Marque de fabrique, label :	Gramophone and Typewriter
Numéro de catalogue :	32469
Numéro de matrice :	343F
Date de l'enregistrement :	1902
Instruments :	piano acc.
État :	Exc++
Vitesse (tours/minute) :	77,5
Matériel employé au transfert :	Garrard 401, SME 3012, pointe 2,0ET sur Stanton, Elberg MD12 : courbe flat, passe-bas 5kHz, Cedar X declick, decrackle, dehiss
Date du transfert :	29-12-2013
Commentaires :	Texte du contenu ci-joint. La diane : batterie de tambour, sonnerie de clairon ou de trompette exécutée à la pointe du jour pour réveiller les soldats, les marins.
Texte du contenu :	Le Caïd ; air du tambour major : l'amour, ce dieu profane Création 1849 à l'Opéra-Comique - Paroles : Thomas Sauvage - Musique : Ambroise Thomas - Éditeur : Au Ménestrel, Heugel et fils Version de René antoine Fournets sur disque Gramophone 32469 (1902): Je vois enfin paraître Mon astre à sa fenêtre Quel bonheur, un bouquet En façon de billet Ô beauté sans pareille Si blanche et si vermeille En flairant ton poulet On devine ton secret Aussi amour tambour Sont ensemble à merveille Ra-fla, ra-fla, ra-fla Battez-moi ça Ferme et voilà Comme on les éveillera Battez, battez-moi ça Voilà voilà voilà Comme on les éveillera Battez-moi ça Ferme et voilà Comme on les éveillera Battez, battez-moi ça Voilà voilà voilà Comme on les éveillera Ratapla ratapla ratapla Ratapla ratapla ratapla Battez-moi ça Ra ! Je vois enfin paraître Mon astre à sa fenêtre Quel bonheur, un bouquet En façon de billet Ô beauté sans pareille Si blanche et si vermeille En flairant ton poulet On devine ton secret Aussi tambour amour Sont ensemble à merveille Ra-fla, ra-fla, ra-fla Battez-moi ça Ferme et voilà Comme on les éveillera Battez, battez-moi ça Voilà voilà voilà Comme on les éveillera Battez-moi ça Ferme et voilà Comme on les éveillera Battez, battez-moi ça Voilà voilà voilà Comme on les éveillera Ratapla ratapla ratapla Ratapla ratapla ratapla Battez-moi ça Ra ! Version Belhomme chez Pathé : L'Amour, ce dieu profane Inventa la diane, Joyeux réveille-matin Du paresseux hymen Elle frappe l'oreille De l'époux qui sommeille Et le gentil tambour Roule au profit d'amour Aussi tambour amour Sont ensemble à merveille Ra-fla, ra-fla, ra-fla Battez-moi ça Ferme et voilà Comme on les éveillera Battez, battez-moi ça Voilà voilà voilà Comme on les éveillera Battez-moi ça Ferme et voilà Comme on les éveillera Battez, battez-moi ça Voilà voilà voilà Comme on les éveillera Ratapla ratapla ratapla Ratapla ratapla ratapla Battez-moi ça Ra ! Je vois enfin paraître Ma belle à sa fenêtre Elle me jette un bouquet En façon de billet Ô beauté sans pareille Si blanche et si vermeille En flairant ton bouquet On devine ton secret Toujours Amour tambour Sont ensemble à merveille Ra-fla, ra-fla, ra-fla Battez-moi ça Ferme et voilà Comme on les éveillera Battez, battez-moi ça Voilà voilà voilà Comme on les éveillera Battez-moi ça Ferme et voilà Comme on les éveillera Battez, battez-moi ça Voilà voilà voilà Comme on les éveillera Ratapla ratapla ratapla Ratapla ratapla ratapla Battez-moi ça Ra ! Version chanteur anonyme sur cylindre : L'Amour, ce dieu profane Inventa la diane, Joyeux réveille-matin Du paresseux hymen Elle frappe l'oreille De l'époux qui sommeille Et le gentil tambour Roule au profit d'amour Aussi tambour amour Sont ensemble à merveille Ra-fla, ra-fla, ra-fla Battez-moi ça Ferme et voilà Comme on les éveillera Battez, battez-moi ça Voilà voilà voilà Comme on les éveillera Battez-moi ça Ferme et voilà Comme on les éveillera Battez, battez-moi ça Voilà voilà voilà Comme on les éveillera Ratapla ratapla ratapla Ratapla ratapla ratapla Battez-moi ça Ra ! Je vois enfin paraître Mon astre à sa fenêtre Quel bonheur, un bouquet En façon de billet Ô beauté sans pareille Si blanche et si vermeille En flairant ton poulet On devine un secret Aussi toujours Amour tambour Sont ensemble à merveille Ra-fla, ra-fla, ra-fla Battez-moi ça Ferme et voilà Comme on les éveillera Battez, battez-moi ça Voilà voilà voilà Comme on les éveillera Battez-moi ça Ferme et voilà Comme on les éveillera Battez, battez-moi ça Voilà voilà voilà Comme on les éveillera Ratapla ratapla ratapla Ratapla ratapla ratapla Battez-moi ça Ra !

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