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Titre : | Mon pensionnaire | ||
Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Spencer, Émile ; Garnier, Léon ; Saint-Maurice, Rémy | ||
Interprète(s) : | Charlus [Louis-Napoléon Defer] | ||
Genre : | Café-concert | ||
Fichier audio : | |||
Photo(s) : | |||
Support d'enregistrement : | Disque | ||
Format : | 19 cm aiguille (enregistrement acoustique) | ||
Lieu d'enregistrement : | Paris, France | ||
Marque de fabrique, label : | Odeon International talking machine Co.m.b.H. | ||
Numéro de catalogue : | 3853 | ||
Numéro de matrice : | P19 | ||
Date de l'enregistrement : | 1904 | ||
État : | Exc++ | ||
Vitesse (tours/minute) : | 85,5, monter en deux endroits | ||
Matériel employé au transfert : | Garrard 401, SME 3012, pointe 1,5ET sur Stanton, Elberg MD12 : courbe flat, passe-bas 5kHz, Cedar X declick, decrackle, dehiss | ||
Date du transfert : | 18-01-2014 | ||
Commentaires : | Texte du contenu ci-joint. | ||
Texte du contenu : | Mon pensionnaire
Création : Sulbac (1894 à la Scala) - Paroles : Léon Garnier, Rémy Saint-Maurice - Musique : Émile Spencer - Éditeur : Puigellier et Bassereau, Paris [1894] Pour partager notre ordinaire Et faire quelques sous de bénef Ma femme me dit, l'année dernière : Tu devrais prendre, mon p'tit Joseph Un pensionnaire C'est vrai, dis-je, quand dans une soupière Y en a pour deux, y en a pour trois Et je pris un clerc de notaire Moyennant soixante francs par mois Comme pensionnaire Il s'appelait Durand comme son père À tous les repas, il bouffait À s' crever la sous-ventrière C'était qu' du vin pur qu'il sifflait Mon pensionnaire Les haricots f'saient son affaire Pour nous faire rire, il imitait Au dessert, avec son derrière Le son d' la trompette du tramway Mon pensionnaire L' soir, quand on n'avait rien à faire On faisait une partie d' piquet Il me volait, ça c'était clair À chaque coup il s' faisait l' paquet Mon pensionnaire Quand j' gagnais, contre mon ordinaire Malheureus'ment un p'tit écu D'vant ma femme, écumant d' colère Il me traitait de vieux cocu Mon pensionnaire Comme un malade imaginaire Un rien le mettait à l'envers Fallait qu'il se donne un clystère Dès qu'il avait un vent d' travers Mon pensionnaire N'ayant pas d' clyso pour le faire Il chopait devant notre bec L' siphon d'eau d' Seltz et sans manière Il prenait un lav'ment avec Mon pensionnaire Un soir, rentrant d' mon ministère Je le surprends, d'un air enjoué Avec ma femme en train de m' faire Cornard... pensez si j'ai secoué Mon pensionnaire ! T'as tort, dit-il, de t' mettre en colère Tu mérites même un coup d' tampon En t' payant, j'ai bien l' droit, j'espère À tout l’état d’gens de ta maison Comme pensionnaire |
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